Rejoignez l’Institut de la Compatibilité de l’Immatériel

Rejoignez l’Institut de la Compatibilité de l’Immatériel

L’Institut de Comptabilité de l’Immatériel (ICI)


L’Institut de Comptabilité de l’Immatériel (ICI) est né il y a quelques mois, à l’initiative d’Alan Fustec, fondateur de Goodwill-management.

Cette association regroupe une centaine d’adhérents composés d’experts comptables, d’analyses financiers, de managers, de chercheurs, etc, passionnés par la mesure et la valeur immatérielle.

La vocation de l’ICI est de promouvoir et d’assurer auprès de tout public la reconnaissance des actifs immatériels des entités, des entreprises et des personnes sur les plans économiques, juridiques et comptables dans leurs aspects financiers et de management.

Pourquoi devenir membre de l’ICI

Vous aussi prenez part à ce projet ambitieux et porteur en devenant gratuitement membre d’ICI, vous pourrez ainsi :

  • Bénéficier de l’accès au référentiel national de mesure du Capital Immatériel dans sa dernière version : Thésaurus Bercy 2018 et y être formés. Ce référentiel est la méthode la plus utilisée en France avec près de 2000 utilisateurs à ce jour.
  • Apprendre et partager des retours d’expériences enrichissants avec des utilisateurs de Thésaurus Bercy et d’experts sur le sujet à travers des ateliers de travail, des formations et une convention annuelle
  • Mettre en application tout ce savoir pour progresser dans la mesure de votre capital immatériel
  • Et surtout participer vous aussi à la promotion de l’immatériel en France en rejoignant le mouvement

Vous êtes intéressé(e), il vous suffit de cliquer ci-dessous et de prendre 2 minutes pour remplir le formulaire d’inscription.

Ethique et responsabilité pour un Cloud durable – Cloud Days 2018

Ethique et responsabilité pour un Cloud durable – Cloud Days 2018

Alan Fustec, fondateur de Goodwill-management et président du Label LUCIE a participé en tant qu’expert RSE à une table ronde sur le thème « Éthique et Responsabilité, pour un Cloud durable ».

Ethique et responsabilité, pour un cloud durable

Aujourd’hui, l’impact du numérique devient une préoccupation croissante au sein des entreprises. Si la confiance et la sécurité reste l’enjeu numéro 1 pour les organisations, le numérique n’est pas sans impact sur l’environnement et sur la société : destruction d’emplois, pollution, consommation énergétique, etc.

Paradoxalement le numérique peut être à la fois le problème et la solution aux enjeux de demain. Avec cette vidéo, découvrez comment les acteurs du marché technologique, notamment Outscale ou encore Cisco, transforment les contraintes sociétales et environnementales en atouts économiques et en opportunités d’améliorer leur performance.

Cloud days 2018

Après plusieurs années d’engagement lié à la RSE, Outscale obtient la labellisation LUCIE en 2018. Outscale devient ainsi le premier fournisseur de services Cloud de type IaaS à obtenir une reconnaissance de son engagement RSE. C’est pourquoi, ce fournisseur de Cloud responsable et engagé a choisi d’orienter son événement annuel, les Cloud days sur le thème de l’innovation, de la confiance et de la transformation du Cloud.

Animateur

Gwenaël Roudaut, Adjoint à la cheffe de département projets et veille stratégique, délégation au développement durable, Commissariat Général au Développement Durable, Ministère de la Transition écologique et solidaire

Intervenants

  • Priscille Ghesquiere, Cheffe du bureau de la production et de la consommation responsables, ‎Commissariat Général au Développement Durable, Ministère de la Transition écologique et solidaire
  • Alan Fustec, Président du Label LUCIE
  • Bruno Bernard, Policy manager – Public Policy – Government Affairs – France, Cisco France
  • Laurence Albinet, Process & Continious Improvement Lead, OUTSCALE

Devenir une entreprise responsable : sommet en ligne

Rentabilité de la RSE : quand responsabilité rime avec performance économique

Goodwill-management participe au premier sommet en ligne, Devenir une entreprise responsable qui se déroule du 19 au 26 novembre 2018. L’objectif de ce sommet en ligne, donner les clés aux entreprises pour passer à l’action et devenir plus responsable.

Arnaud Bergero, directeur des opérations de Goodwill-management anime un atelier le 20 novembre de 15h à 17h30 sur la rentabilité de la RSE.

Au programme :

1/ Comprendre les freins de la RSE pour les lever

2/ Quels sont les bénéfices cachés de la RSE ?

3/ Comment met-on en œuvre une démarche RSE qui crée de la valeur ?

4/ Ils ont mis en œuvre des démarches RSE rentables

La No Impact Week de Goodwill-management

La No Impact Week de Goodwill-management

A l’occasion de l’édition 2018 de la semaine du développement durable, les Goodwilliennes et Goodwilliens ont participé à la No Impact Week : une semaine de défis et d’animations autour de la RSE et du développement durable.

La No Impact Week, qu’est-ce que c’est ?

C’est après avoir découvert l’écrivain et blogueur américain Colin Beavan (surnommé No Impact Man) que Thomas Parouty, fondateur de l’agence Mieux, a l’idée de lancer la No Impact Week pour sensibiliser ses collaborateurs au développement durable et réduire l’empreinte carbone de son entreprise.

L’initiative séduit alors d’autres entreprises. En 2017, l’agence Mieux partage l’événement à toutes les entreprises. Baptisée « No Impact Week », cette semaine d’actions et de sensibilisation au développement durable est un moment de partage et de convivialité pour responsabiliser les entreprises. L’idée est simple : sensibiliser les collaborateurs de manière ludique et positive afin de transmettre les pratiques responsables à adopter au bureau.

La No Impact Week de Goodwill-management

Lundi : consommation responsable
La semaine a débuté avec le thème de la consommation responsable.

Une collecte de vêtements pour Emmaüs a été organisée sur toute la semaine avec près de 112 kg de vêtements collectés. Eh oui, grâce au quizz sur la consommation responsable, nous avons appris que 70 % de notre garde-robe était délaissée. Autant faire des heureux non ?

La journée s’est clôturée par un quizz sur la consommation responsable et une dégustation d’insectes signés Jimini’s.

Le mission de Jimini’s : nous faire manger des insectes et aimer ça !

Pourquoi manger des insectes ?

Les élevages nécessitent peu de ressources et d’espace
La croissance est rapide
Leurs qualités nutritionnelles sont excellentes
Ainsi les insectes ont le pouvoir de réduire l’impact environnemental de notre alimentation, tout en étant bon pour le corps. Les insectes seraient-ils un produit d’avenir ?

Comme on a adoré déguster les produits et échanger avec Jimini’s, découvez leur campagne de crowdfunding pour la sauvegarde des abeilles ! Vous aussi faîtes du Bruizzz, c’est par ici!

Encore un grand merci à Jimini’s pour cette découverte !

Comment investir concrètement pour lutter contre le réchauffement climatique ?

Mardi : Entreprise, bâtiment, énergie

Le deuxième jour de la No Impact Week a été consacré à la réduction de l’empreinte écologique dans nos locaux. L’occasion pour Emilie Restout, Sarah Ait Said et Sarah Gay de réaliser une petite formation sur la pause déjeuner sur les éco-gestes au bureau.

Les Goodwilliennes et les Goodwilliens sont désormais incollables sur le tri, sur l’économie d’énergie et de ressources au bureau et aussi sur la réduction de leur empreinte numérique !

Mercredi : la Tech au service du green

Le mercredi Tiphaine Sargentini, Raphaëlle Barboux et Violette Pradere nous ont réservé un réveil en douceur avec un petit-déjeuner pour nous présenter des applications utiles pour mieux consommer au quotidien. Nous sommes désormais incollables sur les solutions technologiques nous permettant de scanner, analyser et choisir les meilleurs produits !

Grâce à elles, les goodwilliens ont désormais adopté le reflexe Yukafood et INCI Beauty, pour connaitre la composition des produits alimentaires et des cosmétiques et choisir les meilleurs du marché !

Voir l’image sur TwitterVoir l’image sur TwitterVoir l’image sur TwitterVoir l’image sur Twitter

Jeudi : Finance responsable

Chez Goodwill-management, la finance responsable est un vrai sujet puisque nos experts développent des solutions pour appréhender la création de valeur de manière plus globale.
Un sujet qui passionne particulièrement Marc Michen et Wadie El Awad qui nous ont présenté durant une heure les enjeux et solutions de la finance responsable. Vaste sujet !

A l’occasion, Marc et Wadie ont proposé à l’équipe de participer au financement de l’un de projets de la plateforme Babyloan. Cette initiative est bien entendu soutenue par Goodwill-management qui s’est engagé à doubler la mise récoltée.

En une semaine près de 340€ ont été récoltés. Au total, 680€ seront prêtés via le site Babyloan à Ramon Wilmer, garagiste au Honduras, sur une période de 15 mois. Le prêt lui servira à acheter et à renouveler ses outils pour principalement réparer des pneus.

Vendredi : Qualité de vie au travail

Quoi de mieux pour clôturer en beauté la semaine que d’aborder la qualité de vie au travail. Nos Goodwilliens et Goodwilliennes le démontrent chaque jour à leurs clients : le bien-être des collaborateurs améliore leur productivité et par conséquent la performance de l’entreprise.

Comme le prouve l’étude Goodwill-management sur l’impact du sport en entreprise : un collaborateur sédentaire qui se met à la pratique d’une activité physique améliore sa productivité de 6 % à 9 % !

Pour cette première, nos Goodwilliennes et Goodwilliens ont opté pour un sport doux avec une séance d’initiation au yoga sur chaise avec Lara, professeur chez movelinks, qui propose des programmes sport & bien-être en entreprise.

Une fois détendus et relaxés, nous avons souhaité que nos collaborateurs partent en weekend avec le sourire. Ils ont alors pu écrire et recevoir des compliments de leurs collègues en accrochant des petits mots sur l’arbre à compliments ! Car oui, les compliments c’est bon pour le moral !

 

Bien que nos Goodwilliens et Goodwilliennes soient déjà très sensibles aux thématiques du développement durable, la No Impact Week nous a permis de découvrir des applications utiles, d’apprendre des éco-gestes bons pour la planète et notre santé et surtout de passer de très bons moments tous ensemble autour de sujets qui nous passionnent.

Merci la No Impact Week et à l’année prochaine

Les PME Parisiennes s’engagent pour le développement durable

Les PME Parisiennes s’engagent pour le développement durable

À Paris et dans toute la France, de nombreuses organisations jouent un rôle clé dans la mise en œuvre du développement durable, directement en l’intégrant au coeur de leur stratégie ou encore en intégrant les enjeux sociaux et environnementaux de leur activité.

À l’occasion de la semaine européenne du développement durable et dans un contexte politique où l’entreprise est au cœur du débat public avec la loi PACTE et la mission « Entreprise et intérêt général » confiée à Nicole Notat et Jean-Dominique Sénard, Goodwill-management, En Marche Paris Centre et le Label LUCIE ont souhaité donner la parole à des PME du territoire qui s’engagent concrètement.

Animée par Alan Fustec, fondateur de Goodwill-management, la table ronde a réuni 4 PME reconnues pour leurs engagements RSE :

En présence de Brune Poirson, de Benjamin Griveaux et de Stanislas Guerini, ces 4 chefs d’entreprise ont partagé des exemples concrets d’actions RSE qui contribuent à impacter de manière positive leurs parties prenantes et le territoire.

2 ministres pour introduire la table ronde, remettre le sujet au coeur du contexte politique et écouter les bonnes pratiques des entreprises

Pour Benjamin Griveaux, la RSE fait partie de la transformation du modèle économique et social français. Pour réussir cette transformation, l’engagement des individus est essentiel, qu’ils soient réunis en association ou encore dans une entreprise. Aujourd’hui de nombreux entrepreneurs, qu’ils soient issus de l’ESS, du monde associatif ou non, impactent positivement la vie des gens et des territoires sur lesquels ils sont implantés. Cette tendance démontre que le moteur de l’entreprise ne se réduit pas à la recherche de profits. Elle doit désormais prendre en compte les enjeux sociaux et environnementaux liés à son activité. Cette transformation est essentielle car elle est à la fois poussée par le grand public qui montre une certaine défiance envers les entreprises et également par les jeunes actifs qui questionnent de plus en plus la mission et les valeurs de l’entreprise. La RSE ne se limite pas à une communication vers l’extérieur, elle permet à l’entreprise de se questionner sur ses pratiques et parfois même de remettre en question le business model de tout un secteur d’activité. Avec des initiatives telles que le One Planet Summit, le gouvernement souhaite réconcilier les enjeux économique, social et environnemental. Pour se faire, la RSE est un outil qui permet de donner du sens à l’entreprise, les entreprises doivent désormais s’en emparer.

Pour Brune Poirson, Secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de la Transition Écologique et Solidaire, l’objectif du gouvernement avec la Loi PACTE est de passer à l’action ! Le gouvernement souhaite ainsi dépasser les clivages et concilier la performance économique avec la prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux. Comme Benjamin Griveaux, Brune Poirson est convaincue que la RSE permet cette transformation des entreprises et encourage le dialogue avec ses différentes parties prenantes. Sa volonté est d’identifier « ceux qui font », qui développent des bonnes pratiques RSE et de les diffuser à grande échelle.

Avec le comité de pilotage de la mise en oeuvre des 17 ODD (Objectifs du Développement Durable), ou encore la mobilisation de la communauté internationale autour de l’Accord de Paris, l’Etat souhaite fixer un cadre. Sur ces questions, les membres du gouvernement ne souhaitent pas contraindre mais bien au contraire échanger avec les entreprises pour qu’elles prennent ensuite des engagements volontaires. Pour Brune Poirson, la RSE est le lieu où l’entreprise mûrit le modèle économique du futur, un lieu d’expérimentation, parfois même d’innovations inverses (où l’on s’inspire des pays en développement).

Une table ronde des PME parisiennes pour casser les idées reçues sur la RSE 

Alan Fustec est un promoteur du développement durable depuis plus de 25 ans. En 25 ans la perception du développement a beaucoup évolué. Dans les années 90, la majorité des entreprises rejetaient le développement durable de manière catégorique. Le début des années 2000 a ensuite marqué un éveil et un intérêt pour le sujet, suivie d’une certaine accélération jusqu’au Grenelle de l’Environnement. La crise a ensuite freiné cette accélération. En conclusion, la RSE peine encore aujourd’hui à se développer dans les entreprises françaises. Pour Alan Fustec, il est nécessaire de casser certaines idées reçues, telles que :

  • Le développement durable c’est compliqué !
  • C’est pour les grands groupes !
  • Ça coûte cher !

4 PME parisiennes – 4 démarches de responsabilité sociétale (RSE)

Thierry Gauthron, a co-fondé Altman Partners en 2013. Cette jeune pousse fait partie des entreprises à mission puisqu’elle a ajouté à ses statuts un « objet social étendu » : aider à construire les entreprises dont on rêverait pour nos enfants. Comment ? En aidant ses clients à faire bouger les cadres culturels et à libérer les énergies pour être plus durables et performantes. Si Altman Partners, PME de 8 personnes, mène quelques actions dans le domaine de l’environnement avec par exemple la participation au No Plastic Challenge, son principal engagement réside dans la mission de conseil qu’il exerce auprès de ses clients.

Wanda Marin dirige PREREQUIS, une société de conseil dans l’IT d’une soixantaine de collaborateurs qui aide les entreprises à gérer leurs processus internes, leurs données et leurs projets. Pour PREREQUIS, il est enssentiel de concilier la recherche de profit avec d’autres préoccupations telles que l’impact social et environnemental. Tout comme Altman Partners, en tant que société de conseil, PREREQUIS a moins d’enjeux sur la question environnementale et s’atèle à traiter la question sociale en profondeur, avec ses salariés, ses sous-traitants et l’ensemble de ses parties prenantes. La clé pour PREREQUIS : la confiance. La confiance des collaborateurs en développant des outils sociaux (intéressement, compte épargne temps) et en adaptant le système de management et de gouvernance. L’entreprise sensibilise également ses sous-traitants en leur demandant un engagement de principe sur les thématiques du développement durable.

Christine Bourcier dirige quant à elle Learnship, la filiale d’un groupe allemand spécialisée en visio-formation linguistique depuis 8 ans. Pour elle, la RSE fait partie intégrante de l’ADN de Learnship. Dès le début de l’aventure, Leanship s’est posé la question de l’identité des personnes à recruter, à la fois en terme de compétences mais surtout de valeurs partagées. Que ce soit pour un stage, une alternance ou un CDI, tous les nouveaux arrivants passent du temps dans les différents pôles de l’entreprise. Cette initiative est par ailleurs très souvent saluées dans les rapports d’étonnement des nouveaux collaborateurs. Même en dispensant des formations linguistiques à distance, l’humain reste au coeur de la solution, à travers l’encadrement, le suivi de la formation, etc. Dans la vie d’un collaborateur, la formation donne du sens. Elle peut être synonyme d’un nouveau travail, d’une promotion ou encore de mobilité.

En 2011 Guillaume Gibault a fait le pari un peu fou de fonder une marque de sous-vêtements, de maillots de bain et d’accessoires entièrement fabriqués en France. Aujourd’hui le Slip Français emploie 75 personnes et s’appuie sur 42 usines en France pour fabriquer ses produits, soit un équivalent temps plein de 150 personnes. Pour Guillaume Gibault, la RSE permet de redonner du sens à l’entreprise :  » Si vous voulez changer le monde, commencez par changer de slip » !

Outre la nécessité première d’être rentable économiquement, le Slip Français a cherché à avoir un impact positif. Dans ce domaine le premier challenge reste sociétal. En fabriquant exclusivement Made In France, le Slip soutient près de 220 emplois dans l’industrie textile. Pour ses collaborateurs, la startup veille à sa bonne gouvernance, par exemple en étant transparent sur les salaires, en définissant des objectifs clairs. Le second challenge est environnemental puisque la mode est l’industrie qui pollue le plus, derrière celle des hydrocarbures. Il faut sensibiliser le consommateur et changer sa manière de consommer. Le Slip Français est une marque qui s’installe dans le temps, qui dure. Si en fabriquant en France, l’entreprise réduit l’impact environnemental du transport, elle cherche à améliorer celui de sa matière première principale : le coton. En effet, si tous les produits à base de coton de la marque sont certifiés Ecotec, le coton est loin d’être parfait puisqu’il consomme beaucoup d’eau et ne pousse pas en France. Un beau challenge en perspective.

La dernière étape pour Guillaume Gibault : rendre la RSE sexy auprès de son équipe. Pour cela, la RSE a été baptisée le Mont Ninja et s’appuie sur le référentiel conçu par le Label LUCIE pour répartir les différentes thématiques de la RSE sur les différents pôles.

La RSE, çà coûte ?

Pour Guillaume Gibault, la RSE a un coût mais il faut distinguer le court et le long terme. En BtoC, le positionnement d’une marque est essentielle. Le consommateur cherche de la transparence et de l’authenticité. En adoptant une démarche développement durable dès la création de son entreprise, il a souhaité répondre à la demande des consommateurs qui souhaitent mieux consommer.

Thierry Gauthron ne s’est jamais posé la question, avec Altman Partners il a souhaité créer une entreprise qui rend le monde meilleur. Cette démarche permet d’attirer des clients et des talents partageant les mêmes valeurs.

Pour PREREQUIS, l’entreprise serait sans doute plus riche à court terme mais les collaborateurs beaucoup moins heureux. Cependant à plus long terme, la question ne se pose plus. Si le Label LUCIE impose de la contrainte, elle donne aussi un cadre et permet de crédibiliser la démarche avec un regard externe.

Du côté de Learnship, Christine Bourcier a souhaité souligner qu’il était possible de faire de la RSE avec peu de budget mais beaucoup de créativité.

Alan Fustec l’affirme, la RSE est rentable. Si de nombreuses études le démontrent, l’idée reçue « La RSE ça coûte cher ! » persiste puisque les coûts de la RSE sont bien visibles alors que les bénéfices sont souvent cachés.

À Stanilas Guerini, député de la 3ème circonscription de Paris de conclûre en affirmant la nécessité de moderniser la vision de l’entreprise. Avec la loi PACTE, la majorité s’affirme comme les alliés de l’entreprise, une entreprise moderne qui prend en compte ses enjeux sociaux et environnementaux. Il faut accompagner et les plus petites entreprises et leur permettre de s’approprier la RSE et d’en faire un levier de compétitivité.

Les entreprises françaises ont une longueur d’avance en RSE, elles ont donc plus de facilité à intégrer le long terme et à faire de l’innovation. Elles pourront ainsi être plus compétitives.

La RSE est essentielle à la performance de votre entreprise, n’attendez-plus ! 

Malheureusement la notion de responsabilité sociétale reste encore obscure pour de nombreuses entreprises. Face à ce manque de connaissances de la RSE, il y a une situation d’urgence à la fois sociale et environnementale. Cependant la RSE contribue à la performance économique de l’entreprise. Cette réflexion est aujoud’hui essentielle pour transformer l’entreprise et lui permettre d’innover pour mieux prendre en compte son impact social et environnemental.

Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

Merci votre inscription est bien effectuée

Brochure | Mesurer la performance économique de la RSE

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #25

Téléchargez le dernier numéro de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #24

Téléchargez le numéro 24 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #23

Téléchargez le numéro 23 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #22

Téléchargez le numéro 22 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #21

Téléchargez le numéro 21 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #20

Téléchargez le numéro 20 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #19

Téléchargez le numéro 19 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #18

Téléchargez le numéro 18 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #17

Téléchargez le numéro 17 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #16

Téléchargez le numéro 16 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #15

Téléchargez le numéro 15 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #14

Téléchargez le numéro 14 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #13

Téléchargez le numéro 13 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #12

Téléchargez le numéro 12 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #11 et #10

Téléchargez le numéro 10 et 11 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #9

Téléchargez le numéro 9 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #8

Téléchargez le numéro 8 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #7

Téléchargez le numéro 7 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #6

Téléchargez le numéro 6 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #5

Téléchargez le numéro 5 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #4

Téléchargez le numéro 4 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #3

Téléchargez le numéro 3 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #2

Téléchargez le numéro 2 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Lettre du capital immatériel #1

Téléchargez le numéro 1 de la lettre du capital immatériel. 

Merci votre inscription est bien effectuée

Télécharger l'article d'Alan Fustec

Merci votre inscription est bien effectuée

Téléchargez le volet 1 de la méthode Thésaurus Capital Immatériel

Merci votre inscription est bien effectuée

Téléchargez le volet2 de la méthode Thésaurus Capital Immatériel

Merci votre inscription est bien effectuée

Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

Merci votre inscription est bien effectuée

Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

Merci votre inscription est bien effectuée

Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

Merci votre inscription est bien effectuée

Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

Merci votre inscription est bien effectuée

Catalogue de formations | Goodwill-management

Merci votre inscription est bien effectuée