Décryptage : CSRD, la nouvelle obligation de reporting des entreprises

Décryptage : CSRD, la nouvelle obligation de reporting des entreprises

La Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD), qui entre en vigueur dès janvier 2024, fait partie du plan d’action pour la finance durable de l’Union Européenne.

Cette directive encadre le reporting de durabilité et impose aux entreprises concernées de rédiger un rapport de durabilité expliquant les politiques liées à l’environnement, au social et à la gouvernance (ESG) mises en place par l’entreprise et celles prévues. Cette directive renforce les exigences de la Non-Financial Reporting Directive (NFRD) en matière de reporting de durabilité, qui impose aujourd’hui la rédaction de la Déclaration de performance extra-financière (DPEF).

L’objectif de la CSRD est la diffusion d’une information de durabilité fiable, pertinente et comparable entre tous les acteurs économiques.

Pourquoi ce passage de la DPEF au rapport de durabilité ? Qui est concerné par la CSRD ? Quelles sont les informations précises que ce nouveau rapport demande ? Quelles sont les modalités de publication ? Voici des réponses aux principales questions sur la CSRD.

Pourquoi remplacer la DPEF par le rapport de durabilité ?

La DPEF, entrée en vigueur en 2018, est la déclaration des entreprises françaises sur leurs politiques sociales, environnementales et de gouvernance, encadrée par la NFRD.

La rédaction de la DPEF a permis de généraliser la publication d’informations sur les sujets liés au développement durable au sein de l’Union Européenne. Cependant sa transposition par les États membres est assez libre. Le cadre de reporting et le format de publication ne sont par exemple pas imposés. Les données ne sont pas suffisamment contrôlées dans la plupart des pays de l’Union Européenne, à l’exception de la France.

Avec l’instauration du rapport de durabilité, imposé par la CSRD, l’exercice est plus cadré. Ce rapport vise à accroître la transparence, la comparabilité entre les entreprises de tous les pays et la fiabilité des informations.

Quelles entreprises sont concernées par la CSRD ?

La CSRD concerne progressivement toutes les grandes, moyennes et petites entreprises de l’Union Européenne. Elle concerne :

  • En 2024, toutes les EIP (entreprises d’intérêt public)* actuellement soumises à la NFRD, c’est-à-dire qui remplissent au moins 2 des 3 critères suivants : plus de 500 salariés, plus de 25 M€ de bilan, plus de 50 M€ de chiffre d’affaires ;
  • En 2025, toutes les entreprises qui remplissent au moins 2 des 3 critères suivants : plus de 250 salariés, plus de 25 M€ de bilan, plus de 50 M€ de CA ;
  • En 2026, toutes les PMEs cotées (sauf les microentreprises) et les établissements de crédit de petite taille et non complexes (possibilité de différer le reporting pendant 3 ans)
  • En 2028, les entreprises non européennes réalisant un chiffre d’affaires de plus de 150 M€ en Union Européenne et qui ont au moins une filiale ou succursale dans l’UE, générant plus de 40 M€ de Chiffre d’affaire sur l’année n-1.

En d’autres termes, la CSRD concerne de très nombreuses entreprises : 50 000 contre 12 000 pour la NFRD

*Sociétés dont les titres sont soumis à un marché réglementé (secteur bancaire et assurances)

Quelles sont les informations à publier dans le rapport de durabilité ?

L‘EFRAG (European Financial Reporting Advisory Group) a été mandaté par la Commission Européenne pour définir le cadre du reporting via 12 ESRS (European Sustainability Reporting Standards), répartis selon  3 sujets « ESG » : Environnement, Social, Gouvernance. Voici les diverses thématiques traitées :

Tableau des thématiques ESG de la CSRD - Goodwill-management

Les entreprises doivent fournir des informations quantitatives sur ces sujets, plus d’une centaine d’indicateurs précis sont à divulguer (par exemple les émissions de GES scope 1, 2 et 3 en TeqC02, les intensités carbones en chiffre d’affaires net, le nombre d’employés permanents et temporaires…) ainsi que des informations qualitatives pour expliquer les politiques mises en place ou prévues.

Par ailleurs, les entreprises doivent publier des informations à la fois sur les incidences des activités sur la population et l’environnement et sur la manière dont les questions de durabilité influent sur l’entreprise. C’est le principe de « double importance relative » ou « double matérialité ».

Quelles sont les modalités de publication et de contrôle ?

Le rapport de durabilité doit être publié dans une section dédiée du rapport de gestion, sous une forme numérique standardisée au niveau européen, ce qui simplifie l’évaluation des informations.

Par ailleurs, le rapport de durabilité doit être contrôlé, au choix de l’État membre par un commissaire aux comptes ou par un non-commissaire aux comptes indépendant.

Des pénalités aux choix des états membres sont à attendre en cas de non-respect de ces obligations.

Notre conseil, préparez-vous dès maintenant à la mise en œuvre de la CSRD

L’entrée en vigueur de la CSRD représente un grand changement pour toutes les entreprises, notamment pour celles qui n’étaient jusqu’à présent pas visées par la NFRD. Il faut s’y intéresser dès maintenant !

De plus, les entreprises de moins de 250 salariés qui ne sont pas directement concernées par la rédaction du rapport de durabilité le sont implicitement, les grandes entreprises qui les sous-traitent doivent prouver qu’elles travaillent avec des fournisseurs durables et conscients des urgences environnementales, sociales et de gouvernance… Toutes les entreprises européennes sont finalement concernées et impliquées.

Télécharger notre livre blanc pour tout savoir de la CSRD :

  • Objectifs & enjeux de la CSRD
  • Modalités & contenus du reporting
  • Entreprises concernées
  • Échéances à venir
  • Conseils pour bien se préparer
Image libre blanc CSRD

CSRD, SFDR, taxonomie verte, CSDDD : décryptage des nouvelles obligations européennes

CSRD, SFDR, taxonomie verte, CSDDD : décryptage des nouvelles obligations européennes

CSRD, SFDR, taxonomie verte, CSDDD… Dans cet article, nous vous proposons un décryptage de ces termes et acronymes, pas toujours simples à appréhender. Des concepts qu’il convient de maîtriser pour comprendre comment l’Union européenne souhaite enclencher sa transition vers une économie plus durable.

Quels sont les objectifs et les attendus de ces règlementations ? Qui est concerné ? Quels sont les liens entre ces différentes mesures et comment contribuent-elles à la transition durable de l’UE.

L’Union européenne met en place une série de mesures pour réussir son Green Deal

A travers l’ensemble de ces réglementations, l’Union Européenne a pour objectif de respecter l’Accord de Paris de 2015 et le Pacte Vert de 2019 ou Green Deal. Pour rappel, l’ambition de l’Accord de Paris est de rester en dessous des 1,5°C de réchauffement climatique par rapport à l’époque préindustrielle. Pour respecter cet accord, l’Union européenne a défini à travers le Pacte Vert une feuille de route pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2050 avec un objectif intermédiaire de réduction de 55 % des émissions GES d’ici 2030.

Pour atteindre ces objectifs ambitieux, la Commission européenne a besoin d’au moins 1 000 Mds € par an entre 2021 et 2027, soit 350 Md€ en plus par an par rapport à la période 2011-2020. Cependant l’Union européenne ne compte pas financer seule cette transition. C’est pourquoi elle a pris d’importantes mesures en faveur de la finance durable, afin d’orienter les financements privés vers les acteurs qui contribuent à la transition durable.

Cependant comment savoir si un investissement ou une activité contribue réellement à la transition écologique ? Il était temps d’instaurer un cadre législatif rigoureux pour identifier les fonds éthiques ou les activités économiques durables et éviter le greenwashing. C’est l’objectif du règlement sur la taxonomie verte européenne, une classification permettant d’identifier les activités économiques considérées comme durables.

A la taxonomie s’ajoute la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) qui vise à harmoniser et à fiabiliser le reporting extra-financier des entreprises, la CSDDD (Corporate Sustainability due diligence directive) sur le devoir de vigilence et le règlement SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) qui concernent les produits financiers.

Pour s’y retrouver parmi ces acronymes, voici un schéma qui récapitule l’articulation entre les différents textes :

Schéma sur l'articulation des nouvelles obligations européennes - Goodwill management

CSRD, CSDDD, SFRD, taxonomie verte, kézako ?

De la NFRD à la CSRD pour harmoniser les pratiques de reporting ESG des entreprises

La NFRD (Non Financial Reporting Directive), promulguée en 2014, impose aux grandes entreprises (+500 salariés, CA +50 M€ ou bilan +25 M€) de communiquer des informations sociales, sociétales et environnementales au sein d’un rapport intitulé la Déclaration de performance Extra-financière (DPEF). Ce texte a fortement contribué à développer le reporting extra-financier, mais comporte des limites. En effet, la DPEF n’impose aucun indicateur précis et laisse à l’entreprise le choix du format de la publication, ce qui ne permet pas de réelle comparaison des entreprises à l’échelle européenne sur les mesures environnementales et sociales qu’elles mettent en place.

Avec la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), l’Union européenne veut imposer aux entreprises concernées la rédaction d’un rapport de durabilité plus cadré, avec des indicateurs précis et des modalités de publication harmonisées. En plus de cela, la CSRD concerne un spectre plus large que celui de la NFRD, incluant les entreprises de +250 salariés et les PMEs cotées.

La publication du rapport de durabilité via la CSRD est une obligation de transparence pour les entreprises. Il s’agit de communiquer sur les mesures mises en œuvre par l’entreprise en lien avec le développement durable. La CSRD ne sanctionnera pas les entreprises les moins vertueuses.

Télécharger notre livre blanc pour tout savoir de la CSRD :

  • Objectifs & enjeux de la CSRD
  • Modalités & contenus du reporting
  • Entreprises concernées
  • Échéances à venir
  • Conseils pour bien se préparer
Image libre blanc CSRD

Création de la La CSDDD instaure un devoir de vigilance européen

Début juin, le parlement européen a adopté une version ambitieuse de la CSDDD (Corporate Sustainability due diligence directive). La directive sera définitivement promulguée courant 2024 après des négociations qui s’annoncent difficiles entre la Commission Européenne, le Conseil et le Parlement européen. Cette directive devrait imposer aux grandes entreprises un devoir de vigilance. Les entreprises auraient ainsi l’obligation de modifier leurs pratiques internes pour identifier, prévenir et atténuer les risques liés aux droits de l’Homme, à l’environnement et à la santé et à la sécurité tout au long de leur chaîne de valeur. Les entreprises concernées par la CSDDD seraient les sociétés européennes soit avec +500 employés et un CA +150 M€ au cours du dernier exercice ; soit opérant dans des secteurs à haut risque, avec +250 salariés et un CA + 40 M€ au cours du dernier exercice, avec au moins la moitié de ce CA généré dans un secteur à haut risque.

Les informations répertoriées dans la CSRD et la CSDDD seront utilisées par les acteurs des marchés financiers.

La SFDR : une règlementation spécifique aux acteurs des marchés financiers

L’ensemble des acteurs des marchés financiers sont également concernés par la prise en compte de la durabilité. La SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) vise principalement à identifier ce qui est ou n’est pas un fond ou un produit durable. Elle permet aux gérants d’actifs d’intégrer les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance, à l’échelle de l’entreprise et à l’échelle des fonds et produits en toute conscience.

Le règlement SFDR classe chacun des produits des sociétés du secteur financier, que l’on peut résumer en 3 grandes catégories :

  • Les produits classés « Article 9 », qui adressent un objectif d’investissement durable avec un enjeu environnemental ou social clairement défini et annoncé à l’investisseur 
  • Les produits classés « Article 8 », qui n’adressent pas un objectif de durabilité directement mais comportent une obligation de moyens de répondre à des critères ESG
  • Les produits classés « Article 6 », qui regroupent tous les autres produits n’intégrant pas de façon contraignante les critères ESG.

La taxonomie verte, clé de voute des réglementations sur la finance durable

Enfin, un texte primordial relie les réglementations évoquées précédemment : la taxonomie verte européenne. La taxonomie verte définit très concrètement ce que l’on entend par « durable » : quelles activités économiques peuvent-être considérées comme durables et lesquelles ne peuvent pas l’être ?

Pour être qualifiée de durable selon la taxonomie verte, une activité économique doit répondre à 3 points majeurs :

  • elle doit contribuer substantiellement à l’un des 6 objectifs environnementaux : l’atténuation du changement climatique, l’adaptation, l’eau, l’économie circulaire, la pollution et la biodiversité
  • elle ne doit pas porter de préjudice à l’un des autres objectifs environnementaux
  • elle doit respecter les garanties minimales sociétales (OCDE, principes directeurs des Nations Unies, déclaration de l’OIT et charte internationale des droits de l’Homme).

La Taxonomie Européenne s’adresse à l’ensemble des acteurs des marchés financiers ainsi qu’à toutes les grandes entreprises soumises à la directive NFDR et prochainement à la directive CSRD, ce qui élargira le spectre à 50 000 entreprises concernées (12 000 aujourd’hui).

Enfin, une autre taxonomie européenne est en cours de rédaction, il s’agit de la taxonomie sociale, tournée autour des problématiques sociales.

Un tsunami réglementaire en faveur de la durabilité qui va toucher l’ensemble des acteurs économiques

Malgré la complexité de cette architecture réglementaire, il est essentiel de rappeler sa finalité : répondre à la crise climatique et sociale. Or pour atteindre les objectifs du Green Deal et verdir son économie, l’Union européenne a besoin de réglementations ambitieuses pour mobiliser l’ensemble des acteurs.

Avec des réglementations complexes et en évolution, l’enjeu principal est de faciliter leur articulation et d’harmoniser les pratiques pour pouvoir produire des données de qualité et comparables.

Pour réussir, les entreprises doivent se préparer et anticiper ces règlementations. Cependant les entreprises directement soumises ne sont pas les seules concernées ! Les plus petites doivent aussi agir et instaurer des mesures durables si elles ne veulent pas être mises de côté au sein de leur chaîne de valeur.

Répondez à l’enquête : êtes-vous prêts pour la CSRD ?

Répondez à l’enquête : êtes-vous prêts pour la CSRD ?

Pour favoriser sa transition vers une économie durable, l’Union européenne renforce les réglementations ESG (Environnement, Social, Gouvernance), avec l’ambition de mettre sur le même plan les informations financières et extra-financières des entreprises.

Pour aider les entreprises à anticiper et à préparer la mise en conformité avec la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), Goodwill-management et le réseau Baker Tilly lancent une enquête d’envergure européenne sur le sujet.

La CSRD, de nouvelles obligations de reporting ESG pour les entreprises

Entrée en vigueur en janvier 2023, la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) impose aux entreprises la rédaction d’un rapport de durabilité qui doit contenir toutes les politiques liées à l’environnement, au social et à la gouvernance de l’entreprise. L’objectif de la CSRD est la diffusion d’une information de durabilité fiable, pertinente et comparable entre tous les acteurs économiques. Environ 50 000 entreprises seront concernées, dont toutes les grandes entreprises et les sociétés cotées en bourse (à l’exception des micro-entreprises).

Une étude d’envergure européenne sur la CSRD

S’approprier ces nouvelles exigences de reporting s’avère complexe, même pour les entreprises déjà avancées sur les sujets ESG et RSE. C’est pourquoi Baker Tilly et Goodwill-management lancent une étude à l’échelle de l’UE sur le niveau de préparation des entreprises face à la CSRD. Double matérialité, gouvernance, collecte des données, indicateurs, outils, formation… cette étude souhaite identifier les sujets qui préoccupent les entreprises, afin de proposer des recommandations pour faciliter la mise en conformité avec la CSRD dans une étude qui paraitra en octobre. 

Pourquoi contribuer à cette enquête ?

Voici les 3 bonnes raisons de répondre à l’enquête de Goodwill-management et Baker Tilly sur la CSRD :

  1. Evaluer si votre entreprise est prête pour la CSRD et identifier les défis à relever pour vous mettre en conformité
  2. Obtenir un diagnostic flash et des ressources pour vous préparer à la CSRD
  3. Contribuer à une étude d’envergure publiée en octobre 2023 et qui vous permettra de vous situer par rapport aux autres entreprises de l’UE

Répondre à cette enquête vous prendra environ 10 minutes.

Clôture du questionnaire : 15 juillet 2023

Mon entreprise est-elle concernée par la CSRD ? 

Votre entreprise sera soumise à la CSRD si elle est :

  • européenne et dépasse au moins deux de ces trois critères : 250 salariés, 20M€ de total bilan, 40M€ de CA 
  • une PME européenne cotée sur un marché règlementé de l’UE (exception faite des micro-entreprises)
  • non-européennes avec un revenu annuel généré dans l’UE > 150 M€ et avec une succursale ou une filiale dans l’UE cotée ou générant > 40M€ de chiffre d’affaires.

Rendez-vous en octobre pour découvrir l’intégralité de l’étude qui comprendra un panorama de la CSRD, les résultats de l’enquête et des recommandations à destination des entreprises.

Du changement chez Goodwill-management

Du changement chez Goodwill-management

Créé en 2003 par Alan Fustec, Goodwill-management franchit cette année un nouveau cap en intégrant le groupe Baker Tilly, pour porter les sujets RSE et développement durable.

Nouvelle gouvernance, changement de logo, d’univers graphique, nouvelle présentation de nos solutions, présence en région… découvrez les grandes évolutions de Goodwill-management depuis la rentrée. Des évolutions au service d’un même objectif : vous accompagner vers des modèles plus soutenables. 

Une nouvelle gouvernance avec la nomination d’Arnaud Bergero comme Directeur Général

En 2013, Arnaud a choisi de rejoindre Goodwill-management pour accompagner les entreprises vers des modèles économiques soutenables. D’abord consultant, manager, puis directeur des opérations en 2018, Arnaud est devenu en septembre dernier le nouveau Directeur Général de Goodwill-management. 

Diplomé des Arts et Métiers, Arnaud a 5 ans d’expérience dans la construction et 10 ans d’expérience dans le conseil en développement durable.

Photo Arnaud Bergero - Goodwill Management

J’ai à coeur de poursuivre la mission que Goodwill-management s’est fixée il y a 20 ans :  proposer à nos clients des solutions pour qu’ils soient les moteurs d’une économie réellement soutenable. Pour accélérer le développement de l’entreprise et de son équipe, je peux compter sur le soutien du groupe Baker Tilly. Je souhaite que Goodwill-management développe sa présence en région, pour être au plus près des enjeux des entreprises et leur apporter des solutions concrètes.  En parallèle, l’intégration au groupe Baker Tilly France nous offre de belles opportunités pour porter les sujets de la RSE et du développement durable à l’international auprès de l’ensemble du réseau Baker Tilly. 

Arnaud Bergero, Directeur Général de Goodwill-management

Un nouveau logo et un nouvel univers graphique

A l’occasion du salon PRODURABLE en septembre dernier, Goodwill-management a dévoilé sa nouvelle identité graphique et son nouveau logo.

Vous l’aurez peut-être remarqué, nous partageons désormais le même univers graphique que le groupe Baker Tilly, dont nous sommes membres depuis 2020.

Baker Tilly est une société de conseil, audit et expertise comptable et sociale qui accompagne, depuis près de 60 ans, les dirigeants d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs. C’est aussi – et surtout – une véritable aventure humaine partagée par 1 700 collaboratrices et collaborateurs dans + de 55 bureaux qui savent évoluer, innover et accompagner plus de 30 000 clients. 

Un groupe qui partage nos valeurs puisque nos deux entreprises sont engagées en RSE et labellisées LUCIE 26000. 

L’harmonisation de notre univers graphique marque notre engagement commun pour accompagner nos clients vers des modèles plus soutenables. En tant que pôle RSE du groupe, Goodwill-management est fier de porter ce sujet essentiel à la fois auprès des clients du groupe en France et à l’international auprès de l’ensemble du réseau Baker Tilly International présent dans 148 pays.

La refonte de l’offre de Goodwill-management

La refonte de notre identité visuelle s’est également accompagnée d’une nouvelle structuration de notre offre : une offre plus claire et plus complète pour aider nos clients à adopter des trajectoires plus soutenables à travers 6 expertises !

picto mesure d'impact - Goodwill Management

Mesure d'impact

picto conseil RSE - Goodwill Management

Conseil RSE

picto climat - Goodwill Management

Carbone et climat

picto numérique responsable

Numérique responsable

picto economie circulaire - Goodwill Management

Economie circulaire et low-tech

picto capital immateriel - Goodwill Management

Capital immatériel

En partenariat avec le Centre de Formation LUCIE, Goodwill-management propose également des formations pour accompagner la montée en compétences de vos équipes sur les enjeux de demain. 

Des expertises complémentaires avec l’activité d’audit portée par Baker Tilly, qui est un organisme tiers indépendant sur la vérification des sociétés à mission et de la CSRD. Baker Tilly réalise également les évaluations externes dans le cadre des démarches de labellisation LUCIE 26000 et numérique responsable.

L’ouverture d’un bureau à Nantes

Enfin, Goodwill-management a franchi une nouvelle étape dans son développement régional avec l’ouverture de sa première antenne en région à Nantes. Ce nouveau bureau accueille déjà 6 experts et expertes de la RSE pour accompagner les organisations du Grand Ouest vers des trajectoires plus soutenables. 

Goodwill-management poursuit son développement et recrute. A vos CVs !

    Pour suivre les actualités de Goodwill-management, inscrivez-vous à notre newsletter !

    Engagez votre transition bas carbone avec ACT pas à pas

    Engagez votre transition bas carbone avec ACT pas à pas

    Aujourd’hui l’ensemble des acteurs économiques s’accorde sur l’urgence d’une transition vers un monde bas carbone.

    Vous avez déjà réalisé votre Bilan GES ou votre Bilan Carbone® et vous souhaitez désormais aller plus loin en définissant une stratégie bas carbone ambitieuse et à la hauteur des enjeux climatiques ?

    Participez à un accompagnement collectif réalisé par les experts de Goodwill-management pour déployer la démarche ACT® pas à pas dans votre entreprise. Grâce au soutien de l’ADEME, jusqu’à 50 % de l’accompagnement peut être pris en charge pour les TPE, PME, ETI et les grandes entreprises.

    Comment la méthode ACT pas à pas vous aide-t-elle à définir votre stratégie bas carbone ?

    L’ADEME (Agence pour la transition écologique) et le CDP ont développé l’initiative ACT pour aider les entreprises à s’aligner sur les objectifs fixés par l’accord de Paris sur le climat de 2015. Elle vise à les accompagner dans la définition, le déploiement, le suivi et l’évaluation d’une stratégie de décarbonation conforme à cet accord.

     Les deux objectifs de l’initiative ACT :

    1. La contribution active de l’entreprise à l’atténuation du changement climatique
    2. La transformation de l’entreprise dans un contexte de transition vers un monde bas carbone

    La méthode ACT pas à pas se focalise sur les étapes de définition, déploiement et suivi de la stratégie :

    Schéma démarche ACT pas à pas - Goodwill Management

    Pourquoi participer à cet accompagnement ?

    Bien entendu, le principal intérêt de l’accompagnement ACT pas à pas est d’assurer la viabilité de votre entreprise dans un monde bas carbone ; car une fois votre BEGES réalisé, il est parfois difficile de construire une stratégie bas carbone à la hauteur des enjeux climatiques.

     Rejoindre l’accompagnement collectif vous permet de : 

    • Anticiper les risques que la transition bas carbone engendre, d’adapter votre modèle économique, de rassurer vos investisseurs… 
    • Être pionnier : aujourd’hui moins de 200 organisations sont engagées dans la démarche ACT.
    • Vous appuyer sur des experts de la mesure d’impact et du bilan carbone accrédités pour la démarche ACT.
    • Parce qu’ensemble on va plus loin : partager vos stratégies bas carbone et vos actions avec les autres membres du groupe de travail, au sein de cet accompagnement à la fois individuel et collectif.
    • Bénéficier d’un tarif avantageux avec le soutien financier de l’ADEME.

      Les 5 étapes de l’accompagnement 

       À chaque étape, des sessions collectives seront organisées pour partager vos stratégies bas carbone et vos actions avec les participants à l’accompagnement et échanger sur les questions et éventuelles difficultés rencontrées.

      Voici les 5 étapes de la démarche ACT pas à pas :

      Chiffre 1 - Goodwill Management

      La situation actuelle

      Quelle est la situation initiale de mon entreprise en termes de stratégie de décarbonation et d’action climatique ?

      Chiffre 2

      Les enjeux et défis

      Quels sont les enjeux et défis pour mon entreprise dans le contexte de la transition vers un monde bas carbone ?

      Chiffre 3

      La vision

      Quel est le modèle pour mon entreprise dans un monde bas carbone et quelle est la feuille de route de sa transition ?

      Chiffre 4

      La stratégie

      Quelle est la nouvelle stratégie de décarbonation de mon entreprise ?

      Chiffre 5

      Le plan d'action

      Quel est le plan d’action mettant en œuvre la stratégie de décarbonation de mon entreprise ?

      Comment candidater à l’accompagnement collectif ? 

      Vous êtes intéressés par rejoindre l’accompagnement collectif à ACT pas à pas proposé par Goodwill-management ? Vous avez jusqu’à mi-novembre pour rejoindre l’initiative. Seules 10 entreprises pourront rejoindre l’accompagnement pour une durée de 2 ans et profiter des subventions de l’ADEME, alors n’attendez pas !

      Vous avez des questions sur le sujet, écrivez-nous !

        Vous avez des questions avant de vous lancer ? Goodwill-management vous propose une réunion d’information pour répondre à toutes vos questions en novembre !

        FAQ sur ACT pas à pas

        Quels sont les pré-requis pour rejoindre l'accompagnement ACT pas à pas ?

        Voici les pré-requis pour participer à l’accompagnement :

        • Une personne de l’entreprise doit avoir suivi et validé le programme de formation du coordinateur ACT-S.
        • Le Conseil d’administration a clairement exprimé sa volonté de participer au projet ACT-S ;
        • Au moins un membre du Conseil d’administration a été nommé porteur du projet ACT-S ;
        • Un employé de l’Entreprise a été nommé coordinateur du projet ACT-S ;
        • Le coordinateur du projet a suivi et validé le programme de formation du coordinateur ACT-S ;
        • L’Entreprise a effectué au moins un inventaire organisationnel des GES au cours des deux dernières années qui couvre toutes les sources importantes d’émissions de GES. En d’autres termes, votre entreprise doit avoir réalisé un BEGES ou un Bilan Carbone incluant les scopes 1, 2 et 3.

        Combien de temps dure un accompagnement ACT pas à pas ?

        La durée nécessaire à la mise en oeuvre de la méthodologie ACT pas à pas est de deux ans en moyenne. Il s’agit d’un accompagnement qui questionne le modèle économique de l’entreprise pour le rendre compatible avec les enjeux climatiques.

        Existe-t-il des aides pour mettre en oeuvre ACT pas à pas ?

        Tout à fait, en 2022, l’ADEME propose des aides pouvant aller jusqu’à 50 % du montant total de l’accompagnement.

        Combien coûte un accompagnement pour définir sa stratégie bas carbone avec ACT pas à pas ?

        Le coût approximatif d’un accompagnement pour définir sa stratégie bas carbone avec ACT pas à pas sur deux ans est compris entre 20 000 et 30 000 euros HT en fonction de la taille de l’entreprise. 

        En 2022, l’ADEME propose une prise en charge de 50% du coût total de l’accompagnement. 

        Financez votre transition écologique avec France Relance

        Financez votre transition écologique avec France Relance

        Dans le cadre du plan France Relance, l’ADEME propose des aides et subventions pour aider les TPE-PME à se lancer dans la transition écologique.

        Jusqu’à 80% du montant total de votre diagnostic ou de votre investissement peut-être pris en charge pour les TPE-PME. Découvrez les accompagnements proposés par Goodwill-management :

        • Stratégie climat avec la méthodologie ACT pas à pas
        • Gestion des déchets
        • Écoconception des produits et services
        • Numérique responsable

        Financez votre transition écologique avec France Relance

        Décryptage de France Relance

        Afin de soutenir l’activité économique à la suite de la crise sanitaire et de préparer l’avenir, le gouvernement a lancé un plan de relance de 100 milliards d’euros s’articulant autour de 3 priorités :

        • Écologie
        • Compétitivité
        • Cohésion

        Cet article se concentre sur le volet écologique, qui représente 30 milliards d’euros de financement sur les 100 milliards du plan de relance. L’objectif est d’accélérer la transition écologique de l’économie française pour qu’elle soit plus durable, plus économe en ressources naturelles et d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

        Concrètement le plan de relance a donné naissance à une aide portée par l’ADEME : le Tremplin pour la transition écologique des TPE et PME. Il faut noter que ces subventions ont pour objectif d’aider les petites et moyennes entreprises à aller au-delà de la règlementation et prendre volontairement le virage de la transition écologique.

        Quelles organisations peuvent en bénéficier ?

        Les subventions du Tremplin pour la transition écologique s’adressent aux TPE et aux PME, quels que soient leur statut juridique (SAS, SCOP, association loi 1901) et leur secteur d’activité, à l’exception des auto-entrepreneurs.

        Quelles actions sont éligibles aux subventions de l’ADEME ?

        Il existe deux types de dispositifs pris en charge par le Tremplin pour la transition écologique des TPE et PME :

        • Des études et diagnostics
        • Des actions d’investissement

        Goodwill-management vous accompagne sur le premier type de dispositifs : les études et diagnostics. Quelques exemples d’accompagnement sont présentés à la suite de cet article.

        Une vingtaine de dispositifs peuvent être pris en charge et couvrent l’ensemble des domaines de la transition écologique :

        Icone empreinte écologique - Goodwill Management

        Lutte contre le réchauffement climatique

        Picto thermomètre - Goodwill Management

        Production de chaleur et de froid des bâtiments industriels ou agricoles

        Picto cercle avec 3 flèches - Goodwill Management

        Économie circulaire et gestion des déchets

        Picto label - Goodwill Management

        Eco-conception et labellisation

        Afin d’être éligible, la demande doit tout de même satisfaire plusieurs critères :

        • Le coût total des opérations subventionnées est supérieur au montant de l’aide accordée ;
        • Le montant total de l’aide est supérieur à 5 000 € et inférieur à 200 000 € ;
        • Le projet doit être réalisé sur une durée maximale de 18 mois.

        La subvention ne sera par ailleurs octroyée que si la demande est complétée avant la validation du devis des dispositifs concernés.

        Les avantages du dispositif 

        Avec le Tremplin pour la transition écologique, le gouvernement et l’ADEME facilitent la demande de subvention pour les TPE et PME avec :

        • Une demande de dossier simplifiée
        • Un dossier unique en cas de sollicitation de plusieurs aides
        • Une instruction accélérée
        • Une avance de 30% à la signature

        Les accompagnements proposés par Goodwill-management et éligibles à France Relance

        Dans le cadre de France Relance, Goodwill-management vous accompagne sur 3 domaines :

        • Lutte contre le réchauffement climatique
        • Stratégie économie circulaire et déchets
        • Numérique responsable

        Lutter contre le réchauffement climatique

        #1 Définir une stratégie bas carbone avec ACT « pas à pas »

        Vous débutez et vous souhaitez intégrer une stratégie bas carbone pas à pas ? Goodwill-management vous accompagne dans le déploiement de la méthode ACT « pas à pas » de l’ADEME.

        Avec ACT « pas à pas », vous vous fixez des objectifs pertinents et vous ancrez l’enjeu climat dans le développement de votre entreprise à moyen ou long terme.

        La méthode ACT « pas à pas » est en cours de déploiement par l’ADEME.

        #2 Evaluer la pertinence de votre stratégie bas carbone

        Vous avez déjà mis en place une stratégie bas carbone et vous vous interrogez sur la pertinence de vos plans d’action au regard des enjeux du réchauffement climatique ? Goodwill-management vous accompagne dans le déploiement de la méthode ACT développée par l’ADEME et le CDP.

        Goodwill-management est accrédité ACT.

        Stratégie économie circulaire et déchets

        Intégrer l’économie circulaire à son activité permet pour un produit ou un service de :

        • Limiter la consommation de ressources en amont ;
        • Allonger la durée de vie sur l’ensemble du cycle de vie ;
        • Et de jeter le moins possible, voir de pouvoir en réutiliser une partie.

        Le dispositif France Relance peut vous aider à intégrer l’économie circulaire et l’écoconception à vos activités.

        #1 Développer un approvisionnement durable

        En 2020, l’ADEME a publié une méthode pour réaliser un bilan matières.

        En réalisant son bilan matières, l’entreprise identifie à la fois sa « vulnérabilité matières », c’est-à-dire les risques associés aux approvisionnements de matières sur tous les aspects (économique, environnemental et social) et son « efficience matière », la consommation de matières au travers de ses pratiques de production.

        L’objectif d’une telle étude est de prendre conscience de ses enjeux afin de hiérarchiser et de prioriser des actions permettant à la fois des faire économies et de réduire son impact environnemental.

        #2 Ecoconcevoir ses produits ou ses services

        Le principe de l’écoconception est d’intégrer la dimension environnementale dans la conception d’un produit ou d’un service sur toutes les phases de son cycle de vie.

        Goodwill-management peut vous accompagner grâce au Tremplin de l’ADEME dans les premiers pas de l’écoconception.

        Concrètement, nos experts évaluent l’impact environnemental d’un produit ou d’un service, identifient des leviers pour améliorer cet impact. Une fois mis en oeuvre, il s’agit de procéder à une nouvelle évaluation et de recommencer le processus dans une démarche d’amélioration continue.

        Il existe plusieurs méthodes pour évaluer l’impact environnemental d’un produit ou d’un service. Nos experts vous aideront à déterminer la méthode la plus pertinente au regard de votre activité.

        En matière d’écoconception, il est également possible de financer un diagnostic pour réduire les emballages ou remplacer des emballages plastiques ou encore la mise en oeuvre d’un affichage environnemental pour les produits et services de l’entreprise.

        #2 Améliorer la gestion des déchets

        En France, la réglementation liée à la gestion des déchets évolue rapidement (biodéchets, tri 5 flux, loi AGEC…). En parallèle, les charges liées à la gestion des déchets augmentent. La loi de finances 2019 a par exemple prévu une forte augmentation de la TGAP pour rendre la gestion des déchets ultimes plus chère.

        L’ADEME estime que 90% des TPE-PME ne connaissent pas le coût complet de leurs déchets. C’est pourquoi l’accompagnement des TPE-PME sur ce sujet est essentiel.

        Goodwill-management peut vous aider à optimiser la gestion de vos déchets en :

        • Réalisant un état des lieux et en calculant le coût complet des déchets de votre entreprise ;
        • Proposant des recommandations pour trier les déchets 5 flux (papier/carton, verre, bois, plastique, métal), les fractions minérales et le plâtre, toujours dans une logique d’optimisation des coûts ;
        • Analysant les processus pour la prévention des déchets (méthodes de comptabilité des flux matières)

        Stratégie Numérique Responsable 

        Goodwill-management peut également vous accompagner pour obtenir le label numérique responsable. Créé à l’initiative de l’INR, le label NR s’adresse à toutes les entreprises et propose une déclinaison sectorielle pour les Entreprises de services du numérique (ESN).

        Comment candidater ? 

        1. Commencez par vérifier les conditions éligibilité ;
        2. Contactez-nous pour préciser votre besoin et obtenir un devis
        3. Inscrivez-vous sur le site agirpourlatransition.ademe.fr, répondez à un questionnaire pour lister l’ensemble des études et/ou investissements que vous comptez mettre en œuvre et qui peuvent bénéficier d’aides. 
        4. Déposez votre demande de subvention qui comprend un fichier généré automatiquement sur le site, le ou les devis scannés et votre RIB.

        Les équipes de Goodwill-management et de Baker Tilly vous accompagnent !

        Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Brochure | Mesurer la performance économique de la RSE

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #25

        Téléchargez le dernier numéro de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #24

        Téléchargez le numéro 24 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #23

        Téléchargez le numéro 23 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #22

        Téléchargez le numéro 22 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #21

        Téléchargez le numéro 21 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #20

        Téléchargez le numéro 20 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #19

        Téléchargez le numéro 19 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #18

        Téléchargez le numéro 18 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #17

        Téléchargez le numéro 17 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #16

        Téléchargez le numéro 16 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #15

        Téléchargez le numéro 15 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #14

        Téléchargez le numéro 14 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #13

        Téléchargez le numéro 13 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #12

        Téléchargez le numéro 12 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #11 et #10

        Téléchargez le numéro 10 et 11 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #9

        Téléchargez le numéro 9 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #8

        Téléchargez le numéro 8 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #7

        Téléchargez le numéro 7 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #6

        Téléchargez le numéro 6 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #5

        Téléchargez le numéro 5 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #4

        Téléchargez le numéro 4 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #3

        Téléchargez le numéro 3 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #2

        Téléchargez le numéro 2 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Lettre du capital immatériel #1

        Téléchargez le numéro 1 de la lettre du capital immatériel. 

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Télécharger l'article d'Alan Fustec

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Téléchargez le volet 1 de la méthode Thésaurus Capital Immatériel

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Téléchargez le volet2 de la méthode Thésaurus Capital Immatériel

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Brochure | Mettre en oeuvre une politique RSE exigeante et rentable

        Merci votre inscription est bien effectuée

        Catalogue de formations | Goodwill-management

        Merci votre inscription est bien effectuée