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Invité à l’occasion de la 206ème réunion d’information du CLENAM, le Club Entreprise Arts & Métiers, Goodwill-management sur le thème de la reprise d’entreprise !
Arnaud Bergero, l’un de nos experts en évaluation du capital immatériel, est intervenu pour présenter l’intérêt d’évaluer les actifs immatériels d’une entreprise avant reprise, afin d’avoir une vision plus globale de ses forces et ses faiblesses.
Ni matériels, ni financiers, ces actifs immatériels restent peu ou pas appréhendés par le système comptable classique. Pourtant, ce capital immatériel est de plus en plus un facteur clé de la compétitivité et de la performance des organisations. Savoir le mesurer est essentiel pour avoir une vision exhaustive de la santé d’une entreprise et de l’état de ses ressources. Pour l’investisseur ou le repreneur, l’évaluation du capital immatériel est un réel outil d’aide à la décision en cas de reprise d’entreprise.
Vous n’avez pas pu assister à la conférence du CLENAM, nous vous proposons de télécharger la présentation à la fin de cet article.
Les équipes de Goodwill-management et de LUCIE ont décidé d’apporter une contribution au grand débat national mis en place par le gouvernement sur la thématique de l’environnement. De ces échanges, 10 grandes propositions sont nées organisées autour de 3 grands axes :
Le verdissement de la fiscalité est un levier essentiel et particulièrement efficace pour encourager la transition énergétique. Cependant, pour qu’elle soit soutenable, cette fiscalité doit avant tout être juste et représentative. Chacun doit pouvoir y participer à la hauteur de ces moyens et proportionnellement aux conséquences de ces actes.
L’avion est le moyen de transport le plus polluant par kilomètre parcouru. A titre de comparaison, l’avion émet jusqu’à 40 fois plus de CO2 que le train par kilomètre parcouru et par personne transportée. L’empreinte carbone d’un vol en avion est de 145 grammes de CO2 par passager contre 100 grammes pour le transport en voiture.
Or, les compagnies aériennes bénéficient d’une vraie niche fiscale. Si la convention de Chicago sur l’aviation civile internationale a figé l’exonération fiscale de kérosène sur les vols internationaux, rien n’empêche la France d’instaurer une taxe sur le carburant des avions pour les vols intérieurs. Certains pays ont déjà pris les devants, comme les Etats-Unis, le Brésil, les Pays-Bas, etc.
Aujourd’hui, les inégalités de revenus sont un frein majeur à la généralisation d’une consommation durable. Il est souvent moins cher d’acheter des biens de consommation ayant un lourd bilan carbone et sociétal que leur équivalent plus « éco-responsable ».
Il y a donc un paradoxe : le prix des biens de consommation ne reflètent pas la réalité environnementale de leur production (épuisement des ressources, biens non-recyclables etc.). La collectivité dans son ensemble paye cette facture, notamment à travers les impacts du dérèglement climatique et de la pollution sur la qualité de vie. A l’inverse, les bénéfices que procurent à la communauté les biens éco-responsables ne sont pas pris en compte sur la facture du consommateur.
Une TVA circulaire permettra de rendre les produits procurant des avantages environnementaux plus accessibles. Bénéficiant d’un taux de TVA plus bas, un véritable marché du produit durable pourra émerger.
La tarification incitative consiste à faire payer les usagers du service de gestion des déchets selon les quantités qu’ils produisent. Son efficacité quant à la réduction du volume des déchets produits a été amplement démontrée. Selon l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie, sa mise en place permet en moyenne de réduire de 41% la quantité d’ordures ménagères résiduelles (OMR) et d’augmenter de 40% la collecte des recyclables.
Cependant, cette tarification ne peut être déployée au niveau national sans prendre en compte les réalités locales. Pour réduire les quantités résiduelles collectées, la tarification incitative seule ne suffit pas. Il faut aussi donner à chacun les moyens de gérer correctement ses déchets, sans en payer le prix fort. Cela ne peut se faire sans l’aide des collectivités locales : développement des déchèteries, fourniture d’une solution de compostage individuel, renforcement des infrastructures de tri etc.
Nos modes de consommation reposent sur une logique productiviste et extractiviste qui se heurtent de plus en plus aux limites de la planète. L’innovation low-tech permet de prendre le contre-pied de cette logique. Simples, accessibles et durables, elles sont développées à l’échelle locale et répondent à toute sorte de problématique.
Une partie du budget de l’Etat sur la recherche pourrait être alloué au développement de solutions low-tech. La France pourrait à terme se positionner comme pionnière dans ce domaine.
Les low-tech ont des applications concrètes dans de nombreux domaines. Il est essentiel d’encourager la mise en place de processus agricoles et industriels moins consommateurs d’énergie et autres ressources. Les low-tech touchent à l’organisation de notre société dans son ensemble.
Pour entrainer l’émergence d’une économie plus sobre en énergie et en ressources, des incitations fiscales pourraient guider le choix des entreprises et des administrations vers des modes d’organisation et de production plus économes. Nous soutenons la proposition faite par le groupe de travail de La Fabrique Ecologique de faire basculer les cotisations sociales vers une fiscalité environnementale ambitieuse. Le coût de la protection sociale serait alors porté par les différentes contributions calculées en fonction de différents critères environnementaux (« consommation d’énergie et de ressources non renouvelables, d’eau ou génération d’émissions de gaz à effet de serre, de déchets, de pollutions » etc.). Ainsi, « les arbitrages sur les choix d’organisation, les modes de production, la rentabilité des projets, l’utilité des investissements, s’en trouveraient profondément modifiés, en faveur de l’emploi humain et des effets environnementaux bénéfiques ».
Dans ce modèle, on remet l’humain au cœur de l’entreprise et on dépasse le paradigme d’une productivité qui ne peut trouver sa source que dans le remplacement du travail humain par des technologies consommatrices de ressources et d’énergie. Comme l’indique la synthèse du groupe de travail : « les entreprises « consommatrices de main d’œuvre » et de travail seraient avantagées par rapport aux industries fortement consommatrices d’énergie et très automatisées ».
Aujourd’hui, « les recettes liées à l’introduction de la composante carbone dans la fiscalité de l’énergie sont de l’ordre de 4 milliards d’euros, soit moins d’1% des cotisations sociales. » De plus, il semble nécessaire d’aller plus loin que la simple prise en compte de l’intensité carbone et d’élargir cette fiscalité à d’autres données environnementales (déchets, sols etc).
Un effort de communication doit être fait pour permettre une meilleure connaissance des low-technologies. Si celles-ci répondent souvent à des problématiques particulières, elles n’en restent pas moins réplicables. Ainsi, une certaine centralisation de ces données permettrait à chacun d’y avoir accès et d’en faire un bon usage.
Penser la ville et l’intelligence urbaine en visant la sobriété énergétique. Pour aller plus loin, découvrez l’article de la revue Urbanités qui a exploré « la ville (s)low tech ».
Avec le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le climat, l’Union européenne peut devenir le leader mondial de la transition énergétique.
Pour réaliser une transition écologique juste sur le plan social, il est fondamental d’accroître l’investissement, à la fois dans les infrastructures physiques (par exemple, pour la rénovation thermique des bâtiments) et dans les compétences. Or, selon le think tank I4CE, les investissements publics et privés nécessaires pour atteindre les objectifs fixés par les Accords de Paris, s’élèveraient entre 45 et 75 milliards d’euros par an (soit 2% à 3% du PIB).
Il existe quatre principales niches fiscales sur les combustibles fossiles en France :
Selon le Réseau Action Climat, le montant des remboursements et des exonérations de taxes qui concernent la consommation des énergies fossiles en 2017 s’élèverait à 8,5 milliards d’euros en France.
Obligations vertes, certificats-carbone, obligations de mise en conformité des portefeuilles financiers avec les objectifs de la transition… les instruments financiers ayant pour finalité de lutter contre le changement climatique existent.
Au regard de l’urgence et des besoins colloseaux de financement, l’ensemble des acteurs de la finance doivent maintenant se tourner massivement vers des investissements plus responsables.
A l’occasion de la semaine européenne du développement durable, le Label LUCIE, en partenariat avec l’OPENMIND Kfé, a invité plusieurs entreprises engagées et responsables à partager leurs bonnes pratiques. Cette année, Arnaud Bergero, directeur des opérations de Goodwill-management a pris la parole sur « L’entreprise à impact positif, le modèle de demain ? ».
4 autres entreprises de la Communauté LUCIE sont intervenus à ses côtés :
Face aux enjeux sociaux et environnementaux, les entreprises ont un rôle à jouer pour changer le modèle et le rendre plus responsable.
RSE, Performance globale, ODD, entreprise à mission ou contributive, les termes fleurissent pour définir l’entreprise durable de demain.
Pour être durable, l’entreprise de demain doit se transformer profondément pour :
Créé en 2003, Goodwill-management est l’un des pionniers du conseil RSE et développement durable. Notre impact positif se mesure avant tout à travers les études que nous réalisons. Grâce à son positionnement atypique, Goodwill-management détourne les outils classiques de l’économie et de la finance pour démontrer aux organisations qu’elles créent plus de valeur en prenant des décisions responsables. Une fois l’intérêt économique démontré, Goodwill accompagne les entreprises dans l’intégration de la RSE à la stratégie globale.
Pour garantir à nos clients que nous appliquons en interne les principes que nous leur recommandons, Goodwill-management a obtenu le Label LUCIE 26000 en 2014.
Notre démarche RSE est ainsi auditée tous les 18 mois pour un évaluateur indépendant. Entre 2017 et 2020, Goodwill s’est engagé à mettre en œuvre plus de 40 nouveaux engagements RSE (sans compter les multiples projets nés entre-temps).
La stratégie de mécénat de Goodwill-management a débuté en 2015. Aujourd’hui tous les Goodwilliens ont la possibilité de réaliser 2 jours de mécénat de compétences par an. Concrètement, le cabinet met gratuitement ses expertises au service des entrepreneurs sociaux membres de l’ONG Ashoka, de l’Institut de la Comptabilité de l’Immatériel, de l’ensignement en Grandes Ecoles ou encore de l’association Skeaf. Cela représente entre 20 et 40 jours par an, soit 1 à 2% de notre chiffre d’affaires. Arnaud Bergero rappelle que si cela semble peu, si l’ensemble du CAC40 en faisait autant avec tous leurs collaborateurs, cela changerait probablement la donne pour le monde associatif et de l’ESS.
En 2014, les Goodwilliens émettent le souhait d’aider des personnes en difficultés. C’est chose faite en 2015 avec la création de l’association solidaire Skeaf, qui a pour mission de participer à la réinsertion d’accidentés de la vie au travers de la navigation en mer sur un voilier centenaire. Près de 600 personnes embarquent à bord de Skeaf, tous les ans.
Goodwill-management souhaite aller encore plus loin, en mettant ses expertises et savoir-faire au service de la transition écologique. Si l’évolution de nos sociétés est de plus en plus incertaine, nous sommes convaincus que les entreprises auront toujours un rôle à jouer. C’est pourquoi Goodwill-management souhaite lancer dès 2020, le projet Kerlotec. Situé dans la région de Guingamp sur le domaine de Brélidy, l’écosystème Kerlotec se compose :
Avec ce projet, Goodwill-management souhaite contribuer à la définition du modèle économique des solutions de demain.
Ce projet inédit est né de la collaboration d’acteurs venant d’univers multiples : collectivité territoriale, entreprise privée, entreprise de l’ESS et association.
Tous les acteurs à l’initiative de la Low-tech Skol, se complètent et apportent leurs expertises respectives, indispensables au projet.
Si Alan Fustec, fondateur de Goodwill-management, a eu l’idée de la Low-tech Skol, ce projet n’aurait pu voir le jour sans le soutien de Guingamp-Paimpol Agglomération. Premier partenaire du projet, le territoire s’est très rapidement engagé à accueillir la première école low-tech à Guingamp.
L’agglomération a confié le pilotage du projet aux équipes de Goodwill-management et au CFPPA de Kernilien à Guingamp.
Enfin, le Low-tech Lab est un projet de recherche et de documentation collaborative visant à diffuser et promouvoir les low-technologies. Cette association partage son expertise afin de construire un programme de qualité et recruter les bons formateurs.
Tous ces acteurs partagent une même ambition : celle de contribuer à la transition écologique et de diffuser pour largement les low-tech. Ils devraient être rejoints très prochainement par d’autres acteurs du territoire. Vous souhaitez soutenir le projet et devenir partenaire de la Low-tech Skol ? Ecrivez-nous !
Notre premier impact est très concret. Si nos études contribuent à transformer les pratiques de nos clients, alors le pari est réussi.
Cependant, mesurer l’impact de nos missions de manière très concrète n’est pas toujours évident. Il est parfois très frustrant de prodiguer des conseils, sans savoir s’ils seront mis en œuvre.
En 2018, Goodwill-management a accompagné France Chimie dans la construction d’un référentiel RSE pour l’ensemble des acteurs de la chimie. Une fois la mission finalisée, c’est au client de faire vivre ces outils. Or lors de la dernière édition du salon PRODURABLE, nous avons appris que de nombreuses PME de la chimie, partout en France, avaient rapidement adopté le référentiel pour se lancer dans une démarche RSE. Avant la conception de cet outil, beaucoup d’entre elles penser que la RSE était réservée aux grands groupes.
Depuis 2 ans, Goodwill accompagne un grand acteur de la restauration rapide sur la question des déchets et du recyclage. Petit à petit, le travail mené par Goodwill contribue à réinventer les pratiques de recyclage en salle. C’est une réelle fierté pour nous de faire changer les pratiques d’un grand groupe. Bien entendu sur ces questions, le contexte politique est en notre faveur, notamment avec la loi sur l’économie circulaire qui va entrer en vigueur.
Réalisées dans le cadre du mécénat de compétences, les études de mesure d’impact aident de manière très concrète ces entrepreneurs sociaux d’Ashoka. Voici deux exemples :
En 2018, Goodwill-management a mesuré l’impact d’Unicités, qui est le grand opérateur du service civique en France. Après une présentation à l’Assemblée Nationale, les Députés se sont appuyés sur les résultats de l’étude pour défendre le futur budget du service civique.
En 2017, les Goodwilliens ont mesuré l’impact de Dorémi, un dispositif qui facilite la rénovation énergétique des maisons individuelles. L’étude d’impact a permis à l’équipe de Dorémi de structurer son pitch investisseur, facilitant une levée de fonds à 1,2 M€ l’année suivante.
Grâce au mécénat de compétences développé avec Ashoka, Goodwill-management a développé une réelle expertise dans la mesure d’impact des entreprises de l’ESS. Allant au-delà de l’empreinte socio-économique, Goodwill mesure le retour sur investissement social. En valorisant les externalités positives des entreprises de l’ESS, Goodwill apportent des éléments déterminants pour convaincre les investisseurs.
A vous de nous le dire. C’est qui est certain, c’est qu’en interne, la démarche RSE de Goodwill s’est structurée depuis 2014, en grande partie grâce à la labellisation LUCIE. Elle est désormais partagée et portée par l’ensemble des Goodwilliens et des Goodwilliennes. Nous avons bien entendu des chantiers à poursuivre pour réduire nos impacts négatifs, par exemple dans nos usages numériques.
Pour développer notre impact positif, les idées foisonnent. Concrètement, en 2018, nous n’aurions jamais imaginé être à l’initiative de la première formation aux low-tech en France. Pourtant la première promotion de techniciens low-tech devrait voir le jour en fin d’année. Bien entendu, ce projet n’aurait pu devenir réalité sans nos partenaires : Guingamp-Paimpol Agglomération, le CFPPA de Kernilien et le Low-tech Lab. Nous avons bien compris que « Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent ». Et vous, prêt(s) à changer le monde ?
Fin 2018, Goodwill-management a lancé en partenariat avec Guingamp-Paimpol Agglomération, le Low-Tech Lab et l’Agence LUCIE, la première école dédiée aux low-tech en France. Le 2 mars 2020 à Guingamp, la Low-tech Skol a ouvert ses portes pour former la première promotion de techniciens low-tech et agents économie circulaire. L’objectif : aider les entreprises à se transformer et à passer à un modèle low-tech.
Face aux urgences écologiques et aux limites de notre planète, les low-tech en tant qu’outil de résilience font partie des solutions aux défis d’aujourd’hui et de demain.
En opposition aux high-tech, il est temps de redéfinir la notion de progrès. Ainsi l’ingénieur de demain aura la lourde tâche d’écarter le superficiel et la création de besoin pour réduire la complexité des produits et des procédés qu’il conçoit, tout en minimisant la consommation de ressources et la production de polluants.
Les low-tech sont conçues à partir de matériaux disponibles en abondance, elles sont simples, locales, réparables et ont un faible impact environnemental. Cette approche accompagne la transition vers l’économie circulaire et la rend plus efficace. Enfin pour produire localement, les low-tech s’appuient sur les ressources et les talents du territoire.
La Low-tech Skol* a ouvert ses portes sur le territoire Guingampais en mars 2020.
Cette école a pour ambition de former les « couteaux- suisses » de la transition écologique, capables de répondre aux besoins de tous types de structures (entreprises, associations, collectivités) en termes de lutte contre le gaspillage, de gestions des déchets et de réparation des équipements et machines.
En apportant de nouvelles compétences au monde de l’entreprise, la Low-tech Skol entend contribuer à son échelle à la transition écologique, en s’attaquant de l’intérieur à la transformation des acteurs économiques.
Financée par l’agglomération de Guingamp Paimpol, le CFPPA de Kernilien, Eureden, Goodwill-management et la région Bretagne, ce projet soutient évidemment une dynamique locale, qui participe à la transition écologique du territoire breton.
La Low-tech Skol apporte une réponse à plusieurs enjeux :
La formation s’étale sur 9 mois, dont 7 mois de cours et 2 mois de stage. Elle mêle à la fois une approche théorique et des travaux pratiques autour de la production et de la gestion des ressources, de la réparation et réutilisation des machines et de la gestion durable des déchets.
Le programme s’appuie sur la pédagogie active basée sur l’autonomie, l’apprentissage par la pratique et le travail en groupe.
A la sortie de la Low-tech Skol, les techniciens seront polyvalents, employables au niveau Bac dans tout type de secteur et capables d’apporter et de mettre en œuvre en entreprise des idées simples et efficaces pour générer des économies.
Ce projet inédit est né de la collaboration d’acteurs venant d’univers multiples : collectivité territoriale, entreprise privée, entreprise de l’ESS et association.
Tous les acteurs à l’initiative de la Low-tech Skol se complètent et apportent leurs expertises respectives, indispensables au projet.
Si Alan Fustec, fondateur de Goodwill-management, a eu l’idée de la Low-tech Skol, ce projet n’aurait pu voir le jour sans le soutien des autres partenaires, notamment Guingamp-Paimpol Agglomération. Premier partenaire du projet, le territoire s’est très rapidement engagé à accueillir la première école low-tech à Guingamp.
L’agglomération a confié le pilotage du projet aux équipes de Goodwill-management.
Le Low-tech Lab est un projet de recherche et de documentation collaborative visant à diffuser et promouvoir les low-technologies. Cette association a partagé son expertise afin de construire un programme de qualité et recruter les bons formateurs.
Tous ces acteurs partagent une même ambition : celle de contribuer à la transition écologique et de diffuser pour largement les low-tech. Ils devraient être rejoints très prochainement par d’autres acteurs du territoire. Vous souhaitez soutenir le projet et devenir partenaire de la Low-tech Skol ? Ecrivez-nous !
Au delà de sa contribution à la transition écologique, cette formation de techniciens low-tech s’adresse en priorité à des stagiaires en recherche d’emploi, en reconversion ou sans qualification.
Cependant, l’ensemble des stagiaires de cette première promotion sont motivés par les questions environnementales. A la fin de la formation, ils seront en mesure d’accompagner les entreprises à intégrer les low-tech et l’économie circulaire à leurs modèles économiques.
Le concept semble séduire les entreprises du territoire, puisque Triskalia, Daunat et Hénaff ont formulé 8 promesses de CDI, Yves Rocher, le Crédit agricole et Harmonie mutuelle proposent 7 stages !
Pour aller plus loin
*Skol : école en Breton
** TGAP : Taxe générale sur les activités polluantes.
Le lancement de l’institut de comptabilité de l’immatériel (ICI) a eu lieu le 19 mars 2019 chez Nameshield Group. L’association fait la promotion des actifs immatériels. L’occasion pour les fondateurs de l’association de présenter la philosophie de l’ICI : APPRENDRE et PARTAGER.
Association à but non lucratif, l’ICI a pour mission de promouvoir la comptabilité de l’immatériel.
L’institut passe à l’action pour que l’immatériel soit de plus en plus pris en considération dans les décisions économiques. L’ICI souhaite faire de la France un leader européen et mondial dans l’intégration d’une culture de l’immatériel au cœur des processus de décision économique et de gouvernance des entreprises.
La vocation de l’institut de comptabilité de l’immatériel est de mettre au point et de diffuser des outils de mesure de la valeur immatérielle. S’appuyant sur la richesse du référentiel Thésaurus Capital Immatériel, les membres de l’Institut souhaitent contribuer à l’amélioration constante de la méthodologie tout en la diffusant pour permettre à toutes les organisations d’évaluer leur capital immatériel. Pour cela, l’ICI organise tout au long de l’année des formations, des conférences ou encore des moments de partage d’expériences.
Il reste encore des freins à lever pour que l’immatériel soit intégré de manière systématique aux processus de décision.
Il faut :
Pourtant cette notion est très importante car l’immatériel représente aujourd’hui environ les 2/3 de la valeur des entreprises et des économies occidentales. L’immatériel est également un excellent outil pour passer d’un management par les coûts à un management par la création de valeur.
Avec une évaluation du capital immatériel, le dirigeant prend de la hauteur sur son entreprise. Très utile à certaines périodes de la vie de l’entreprise, l’évaluation des actifs immatériels est essentielle pour bien analyser les risques et identifier facilement les forces et les faiblesses d’une organisation.
Fondée en 2018, l’Institut compte aujourd’hui 150 membres. La philosophie de l’ICI est apprendre et partager !
Pour cela, l’ICI organise tout au long de l’année des formations, des conférences ou encore des moments de partage d’expériences.
L’association a été créée par des professionnels des actifs immatériels et de leur évaluation. Mandaté en 2009 par Christine Lagarde, alors Ministre de l’économie, Alan Fustec a notamment été le principal architecte du premier référentiel de mesure des actifs immatériels. Conçu en 2011, ce dernier a été téléchargé plus de 2000 fois. Cette méthode, dont la robustesse et la fiabilité sont validées scientifiquement a été mise en œuvre dans plusieurs centaines d’entreprises.
Les membres fondateurs de l’association :
Pour faciliter la diffusion des outils de mesure du capital immatériel, l’ICI a désigné des représentants de l’association en région.
L’un des principaux leviers d’une meilleure prise en compte de l’immatériel dans les décisions économiques reste la formation.
À ce titre, l’Institut de Comptabilité de l’Immatériel souhaite former les acteurs économiques à la mesure de l’immatériel et permettre un partage d’expérience. C’est dans ce cadre que l’association vous propose 7 formations en 2019.
Calendrier 2019 | Thème | Intervenant |
23 avril | Formation Thésaurus Capital Immatériel | Alan Fustec |
17 mai | Conférence débat : la place de l’immatériel dans l’analyse financière | Christophe Le Cornec |
25 juin | Conférence débat : la nom de domaine : un actif immatériel intégral | Jean-Manuel Gaget |
17 septembre | Formation : valorisations classique et approche Thésaurus CI | Maud Bodin |
Octobre | Conférence débat : immatériel et économie numérique | Daniel Delorge |
Novembre | Formation débat : les fondements de la comptabilité : de l’antiquité à la comptabilité des immatériels | Henri Verrier |
Décembre | Conférence débat : capital immatériel et RSE | Saliha Mariet |
L’ambition 2020 de l’ICI est de créer un cycle de formations certifiantes à Thésaurus capital immatériel !
L’adhésion à l’Institut de la Comptabilité de l’Immatériel est gratuite pour les membres en 2019.
Vous serez ainsi informés des différentes activités et formations proposées par l’institut. Le financement de l’association est assuré par des mécènes (entreprises privées et organismes publics) ainsi que par des formations et animations inter-entreprises, réalisées par l’Institut.
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions sur l’institut !
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