Contrefaçon: une étude pour mieux appréhender les impacts sur l’économie française

Contrefaçon: une étude pour mieux appréhender les impacts sur l’économie française

Afin de mieux lutter contre la contrefaçon, la Direction Générale des Entreprises (DGE), l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) et l’Union des Fabricants (UNIFAB) et Goodwill-management réalisent en ce moment une étude d’évaluation des conséquences économiques de la contrefaçon en France.

 

La contrefaçon en chiffres :

Selon le dernier rapport de l’OCDE et de l’EUIPO(1), sans doute l’un des plus complets sur le sujet, la contrefaçon représentait 2,5 % du commerce mondial en 2013, soit environ 461 milliards de dollars. 

La contrefaçon est un phénomène mondial qui s’amplifie et n’épargne pas la France. Les douanes ont saisi plus de 7 700 000 objets contrefaits l’an dernier en France, un nombre impressionnant qui croit d’années en années puisqu’en 2002, seulement 800 000 objets contrefaits avait été saisis. Selon l’UNIFAB, ces imitations coûtent chaque année près de 40 000 emplois(2) à la France. La contrefaçon constitue la deuxième source de revenus criminels. 

(1) OECD, EUROPEAN UNION INTELLECTUAL PROPERTY OFFICE, Trade in Counterfeit ans Pirated Goods: mapping the economic impact, 2016.
(2) UNIFAB, Contrefaçon & terrorisme, 2016

Un phénomène mondial qui concerne tous les secteurs

Le luxe n’est plus la seule victime de la contrefaçon. Le commerce mondial est inondé de biens contrefaits. Sacs, médicaments, cigarettes, bijoux, lunettes, jouets, produits multimédias et même de l’agroalimentaire ou Tickets-Restaurant, aucun secteur n’est épargné. Ainsi, aucune entreprise n’est à l’abri : 53 % des entreprises se sentent directement concernées par la lutte contre la contrefaçon selon un sondage mené par la CGPME auprès de ses adhérents en 2011.

Une étude pour mieux comprendre et lutter contre la contrefaçon

La lutte contre la contrefaçon constitue un défi majeur pour les États et une priorité de la douane. La contrefaçon représente en effet une triple menace pour :

  • l’économie nationale
  • la sécurité des consommateurs
  • l’économie nationale

La contrefaçon a connu une forte expansion à cause de l’accroissement des échanges dû à la mondialisation et plus récemment du développement d’Internet et du E-commerce. La fraude a beaucoup évolué : tous les produits sont désormais concernés et la menace est mondiale. Parmi les pays où opèrent les principaux contrefacteurs, on retrouve la Chine avec 63,2 % des produits contrefaits saisis dans le monde(1). Ces faux circulent de manière croissante par le fret express ou postal. Face à ces évolutions, la douane a su adapter ses méthodes et ses moyens d’action. Elle déploie ainsi son action sur Internet, grâce à des services spécialisés tels que la Cyberdouane qui travaille activement à l’infiltration et au démantèlement des réseaux clandestins intervenant sur le Darknet.

Selon le rapport de la Cour des Comptes de 2014, “La France est à la pointe de la lutte contre la contrefaçon et le cyber-contrefaçon aux niveaux européen et mondial”. Pour poursuivre cette lutte contre la contrefaçon, il est nécessaire d’analyser le phénomène en continu afin de pouvoir le comprendre de mieux en mieux et le combattre plus efficacement.

La contrefaçon : un phénomène difficile à mesurer.

Il y a peu de statistiques sur la contrefaçon et pour cause, c’est une pratique illégale. Les données disponibles sont limitées et proviennent soit :

  • des entreprises et des milieux économiques qui souhaitent attirer l’attention des politiques et des institutionnels afin d’intensifier la lutte contre la contrefaçon ;
  • ou des autorités de contrôle, qui fournissent les chiffres des saisies effectuées par les douanes, des chiffres clés qui restent néanmoins des données aléatoires.

L’objectif de cette étude est de réaliser une modélisation du phénomène de la contrefaçon, incluant l’ensemble des impacts sur l’économie française et l’emploi. Notre équipe a dressé dans un premier temps un état-des-lieux des pratiques de contrefaçon en France avant d’étudier l’impact des pratiques de contrefaçon et leurs conséquences économiques, nationales et sectorielles. Nous analysons actuellement les moyens mis en œuvre par les entreprises pour lutter contre la contrefaçon. La dernière étape de cette étude sera la proposition de recommandations aux administrations compétentes et aux titulaires de droits pour lutter plus efficacement contre la contrefaçon.

Deux grandes enquêtes nationales

Afin de comprendre parfaitement le phénomène de la contrefaçon et de le modéliser de manière fiable, 2 études nationales ont été lancées, la première à destination des consommateurs et la seconde à destination des entreprises.

Concernant l’enquête consommateur, tout le monde est appelé à s’exprimer de manière anonyme, afin de mieux cerner les pratiques et la perception de la contrefaçon à travers une dizaine de questions. Par exemple : Au cours des 12 derniers mois, avez-vous acheté des contrefaçons ? Pensez-vous que les consommateurs ont un rôle à jouer dans la lutte contre ce phénomène ? Pour être efficace, sur quoi devrait porter une campagne de communication ?

Participez à l’enquête consommateurs

Du côté des professionnels, l’objectif est fixé à un panel volontaire d’au moins 40 entreprises, là encore anonymes. Cette fois-ci il s’agit de définir quels sont les produits les plus touchés par la contrefaçon, quelles pertes de parts de marché cela entraine ? Comment l’entreprise lutte-t-elle contre ce fléau (veille juridique, demande d’intervention des douanes) ? À la suite d’un questionnaire d’une trentaine de questions, la DGE propose même aux entreprises un entretien privé plus poussé pour aller encore un peu plus loin.

Participez à l’enquête entreprise

Il reste encore quelques jours aux consommateurs et aux entreprises pour répondre aux questions. S’en suivra ensuite une analyse de toutes ces réponses dans la plus grande confidentialité. L’étude devrait être rendue publique dans quelques mois.

Goodwill-management vous souhaite une belle année 2017 !

Goodwill-management vous souhaite une belle année 2017 !

Après une année de travail intense, d’innovations et de challenges, toute l’équipe de Goodwill-management vous souhaite à toutes et à tous une très belle année 2017 ! 

Nous en profitons pour faire un rapide bilan de notre année 2016 !

Une offre toujours plus innovante

Notre cellule R&D a contribué à l’optimisation de nos méthodologies et outils de calcul, ce qui nous a permis de développer notre offre en 2016 avec :

  • le développement d’un outil d’évaluation du retour sur investissement (ROI) d’une action RSE en euros directement dans le compte de résultat de l’entreprise ;
  • la création d’un outil de mesure de l’empreinte socio-économique d’une organisation sur le territoire, s’appuyant sur les matrices Input-Output inventées par le prix Nobel d’économie W.Leontief ;
  • l’intégration d’indicateurs de croissance alternatifs à notre modèle de calcul de la valeur des territoires, Thésaurus-Territoires, afin d’ajuster la valeur du PIB ;
  • la déclinaison du modèle de mesure de la valeur d’un territoire à l’ensemble des départements et des communes françaises ;
  • le lancement d’un groupe de travail pour optimiser notre outil d’évaluation de la valeur immatérielle du bâtiment et de sa contribution au bien-être des occupants avec BNP Real Estate, Bolloré, Bouygues Construction, EDF, Engie, Foncière des Régions, Gecina, Ivanhoe Cambridge, Saint-Gobain et Sercib.

Une transformation digitale en marche

2016 a vu naître les premières applications du projet “Goodwill Digital“. Nous collectons désormais les données nécessaires à la réalisation de nos missions directement en ligne, facilitant ainsi la vie de nos clients et de nos consultants. A terme, nous souhaitons digitaliser l’ensemble de nos étapes de production afin de gagner en efficacité.

Nous avons également digitalisé la communication et le marketing de Goodwill-management avec le lancement début 2016 d’un nouveau site Internet, d’un blog et d’une newsletter.
Si ce n’est déjà fait, allez découvrir ces nouveautés et retrouvez l’ensemble de nos publications sur : goodwill-management

 Un développement international qui s’accélère

Cette année, Goodwill-management a poursuivi son développement à l’international en réalisant des missions au Maroc, au Sénégal, au Niger, en Belgique et pour la première fois au Royaume-Uni.
Nous travaillons donc aujourd’hui dans 6 pays.

 

Un engagement sociétal

2016 marque également la fin de notre premier cycle de labellisation LUCIE, nous avons donc mis en place les derniers engagements RSE que nous avions pris en 2013.

Nous avons par exemple développé 2 partenariats permettant à nos collaborateurs de réaliser du mécénat de compétences.
Le 1
er au sein de Skeaf, une association de réinsertion sociale et solidaire par la mer, que nous soutenons depuis 2 ans. En 2016, ce sont plus de 600 personnes qui sont montées à bord du voilier.
Le 2
nd avec Ashoka afin de mesurer l’impact économique et social d’entrepreneurs de l’ESS qu’Ashoka soutient au quotidien.

[#SEDD] Mobilité : la solution du télétravail

[#SEDD] Mobilité : la solution du télétravail

Originaire des États-Unis, le télétravail gagne de plus en plus de terrain en France. De nombreuses plateformes se développent sur le sujet (télétravail.fr, zevillage.net, etc.) et de nombreuses études appuient la montée en puissance de ce phénomène. Avec le développement des nouvelles technologies et après avoir révolutionné nos vies, le numérique modifiera également nos modes de travail.

Où en est le télétravail en France ?

En 2015, on estime qu’environ 17 % des salariés français travaillaient plus d’un jour par semaine en dehors du bureau. Ce chiffre atteindrait 25 % en Ile-de-France. Le télétravail gagne donc du terrain même si nous n’atteignons pas encore le niveau des pays nordiques et anglo-saxons (jusqu’à 35 %).

Les perspectives de développement du télétravail

Le travail à domicile à raison d’un ou deux jours par semaine, se développe en France. Pourtant des freins subsistent, non seulement au niveau du management intermédiaire, mais les entreprises françaises sont également à la traîne quant à l’utilisation de nouveaux espaces de travail nommés les tiers-lieux, situés à mi-chemin entre le domicile et le bureau. Ces espaces sont essentiellement utilisés par des salariés de PME TPE et par des indépendants (télécentres, EPN, coworking…). Les tiers-lieux se concentrent aujourd’hui en Ile-de-France et connaissent une croissance importante passant d’une dizaine en 2010 à 327 fin 2015 pour la France, dont 138 en Ile-de-France.

Quel est le ROI du télétravail ?

On estime que le télétravail augmente la productivité des collaborateurs entre 13 (1) et 22 % (2).

(1) Rapport d’étude sur les externalités des télécentres pilotée et financée par la Caisse des Dépôts et une équipe composée de chercheurs de l’ENS Cachan et du cabinet de conseil PMP, Novembre 2013.

(2) Synthèse de l’étude de Greenworking, le télétravail dans les grandes entreprises françaises : Comment la distance transforme nos modes de travail, mai 2012.

 

En résumé, le télétravail, ça rapporte : à la fois en termes de productivité et de bien-être des collaborateurs !

Conférence sur les évaluations volontaires des démarches RSE

Conférence sur les évaluations volontaires des démarches RSE

Nous avons participé mardi 24 mai à une conférence organisée par le groupe Développement Durable des ingénieurs alumnis des Arts et Métiers. Lors de cette soirée, 4 sociétés expertes en évaluations RSE ont présenté et débattu autour de leurs solutions : Afnor Certification, le Label LUCIE, Diag26000 et Rexcelys

Animée par Gérard Cappelli, cette conférence a confronté différentes solutions, parfois complétaires, d’évaluations volontaires de la démarche RSE des entreprises. Autour de la table, on a pu retrouver (de gauche à droite) François Salatko (Rexcelys), Bruno Pireyn (Label LUCIE), Pablo Santamaria (Diag26000) et Alain Jounot (Afnor Certification). 

Des invités partageant le même engoument pour la RSE

Ils sont tous unanimes sur l’intérêt pour les entreprises de mettre en oeuvre une démarche RSE, à la fois pour les collaborateurs et l’ensemble des parties prenantes. Pour l’entreprise, mettre en place une telle démarche c’est avant tout assumer ses responsabilités économiques, sociales et environnementales. Rappelons ici qu’il ne s’agit pas d’être en conformité avec la loi, mais bien d’une démarche volontaire de l’entreprise, souvent portée par le dirigeant pour améliorer sa performance globale. C’est pourquoi ces structures ont parfois besoin de l’avis externe de spécialistes pour réaliser un état-des-lieux, poursuivre leur démarche d’amélioration continue ou encore valoriser cette démarche au travers d’une labellisation. 

Startups et actifs immatériels

Startups et actifs immatériels

3 raisons pour lesquelles une startup doit évaluer son capital immatériel :

– Convaincre
Dans le cadre d’une levée de fonds, connaître les forces et les faiblesses de ses actifs immatériels permet à une startup de mettre en avant les bons arguments pour défendre son business plan et convaincre de potentiels inves

– Valoriser
Contrairement aux méthodes classiques de valorisation, une valorisation prenant en compte le capital immatériel ne dépend pas uniquement de la capacité d’une entreprise à générer des cash-flows. Dans ce cas, le fait de ne pas être rentable n’empêche pas une startup d’être valorisée à sa juste valeur 

– Durabilité
La qualité des actifs immatériels est un indicateur clé de la capacité d’une entreprise à se développer et à générer de la richesse sur le long terme.

Nos économies sont désormais à un tournant. Le changement de paradigme a déjà débuté et nous conduit tout droit vers une économie de la connaissance. Dans une telle économie, les actifs immatériels seront de plus en plus pris en considération et deviendront un outil indispensable aux startups.

*International Financial Reporting Standards

Pour en savoir plus sur les actifs immatériels rendez-vous sur le site de l’Observatoire de l’immatériel

Retrouver l’intégralité de cet article sur le site French Tech Hub

 

 

Vers une évolution du capital de marque

Vers une évolution du capital de marque

Des valorisations de marques qui donnent le vertige

La marque reste sans doute l’actif immatériel le plus connu et le plus mesuré. Elle est reconnue comme actif incorporel au titre des IFRS et les valorisations qu’on lui prête donnent parfois le vertige. Pour exemple, intéressons-nous au trio de tête du classement Interbrand 2015, la marque Apple arrive première du classement avec une valorisation de 170 milliards de dollars et une progression de + 43 %, elle est suivie par Google (120 milliards de dollars) et Coca-Cola (78 milliards de dollars). Cependant, selon une étude d’Harvard Business Review, entre 2003 et 2013 la valeur des actifs « marque » a diminué de près de 50 % sur le marché, tandis que la valeur représentée par les « clients » a augmenté de 100 %.

Comment expliquer ces chiffres ?

Il y a un peu plus d’une décennie, nous vivions une époque où les marques étaient toutes puissantes. À grand renfort de campagnes radio, de matraquage TV, ou de grandes affiches, les consommateurs écoutaient le monologue que les marques voulaient bien leurs servir.
Ainsi, jusque dans les années 2000, tout ou presque reposait sur la confiance du client envers une marque ou son produit.
L’avènement de nombreuses technologies et du digital, à partir de ce début de siècle, a complètement transformé le rapport aux marques en donnant aux consommateurs plus de pouvoir. Si nous avions une confiance aveugle avant d’acheter un produit puisque ses qualités étaient vantées à la télé, aujourd’hui il n’en est rien. Le client peut désormais compter sur des associations de protection des consommateurs, la législation mais surtout un meilleur accès à l’information grâce à Internet, notamment les comparateurs en ligne et les expériences passées des clients. Du côté de l’entreprise, cela signifie que l’expérience client est devenue bien plus importante.
Des marques comme Apple ou Nespresso ont très bien compris l’importance de l’expérience utilisateur, du design ou encore de l’ergonomie. Le devoir d’une marque est aujourd’hui de satisfaire son client, de le fidéliser afin d’en faire un ambassadeur et créer une communauté engagée autour de ses produits.

Michel et Augustin est un excellent exemple de la marque du XXIème siècle : connectée et collaborative. C’est en mobilisant sa communauté sur les réseaux sociaux que cette marque française de produits alimentaires a réussi l’exploit de se faire référencer en moins de 48h par Starbucks Monde. Leurs cookies devraient accompagner très prochainement les cafés Starbucks de New-York, Londres et Paris.

 

En pratique, chez Goodwill-management ?

Du point de vue du capital immatériel, cela signifie que le capital « marque » est de plus en plus corrélé au capital « client ». Chez Goodwill-management, nous nous sommes lancés dans une réflexion sur notre propre capital « marque », en remettant à plat l’ensemble de nos outils marketing et de communication. Notre objectif est de repenser notre offre en fonction des besoins de nos clients. Notre mission est claire : aider nos clients à créer de la valeur autrement et leur permettre de mesurer cette valeur autrement afin de contribuer à créer une économie nouvelle, respectueuse de l’environnement et des hommes. Ce nouveau site internet est le premier pas de cette réflexion.

 

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