Économie circulaire en entreprise

Économie circulaire en entreprise

Passer d’une économie linéaire à une économie circulaire

Entre la stratégie européenne pour une économie circulaire et la loi AGEC, l’année 2020 aura été marquée par l’économie circulaire. En effet, notre système économique actuel dit « linéaire » est à bout de souffle. L’économie linéaire considère les ressources naturelles et le capital environnemental comme infinis, si bien que produire – consommer – jeter ne pose aucun problème. Or, la réalité est bien différente. La raréfaction, voir l’épuisement des ressources naturelles, l’importance des nuisances environnementales causées, ou encore l’augmentation des quantités de déchets produites, appellent à une modification radicale de nos modes de consommation et de production.

L’économie circulaire s’efforce de découpler l’activité économique des impacts environnementaux en maintenant les ressources et objets en circulation dans l’économie et en prônant des modes de production et consommation avec un impact environnemental limité. Elle s’inspire du mode de fonctionnement cyclique des écosystèmes naturels qui se structurent autour de boucles régénératives.

Qu’est-ce que l’économie circulaire ?

Le concept d’économie circulaire n’est pas complètement stabilisé. Il apparaît officiellement en France dans la loi pour la Transition Energétique et la Croissance Verte comme un des objectifs nationaux et un des piliers du développement durable.

Souvent réduite à la question du recyclage et de la gestion des déchets, l’économie circulaire est en réalité beaucoup plus vaste et cherche à réformer l’ensemble du système de production et de consommation.

L’Ademe définit l’économie circulaire comme « un système économique d’échange et de production qui, à tous les stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources à diminuer l’impact sur l’environnement tout en développant le bien-être des individus ».

schéma économique circulaire et low-tech - Goodwill-management

Ce cadre rappelle la hiérarchie européenne de gestion des déchets : prévention, réutilisation et préparation à la réutilisation, recyclage, valorisation énergétique puis stockage. L’Ademe distingue 7 leviers qui se font écho que les entreprises peuvent mobiliser pour se diriger vers l’économie circulaire.

 

  • L’approvisionnement durable : qui vise à optimiser l’exploitation des ressources en limitant son impact environnemental et les rebus ou pertes.
  • L’écoconception : qui consiste à prendre en compte l’impact environnemental d’un produit dès sa conception pour le minimiser.
  • L’écologie industrielle et territoriale : dans laquelle l’entreprise s’appuie sur les autres acteurs de son territoire pour créer des synergies dans l’exploitation de ressources (matières premières, énergie etc.).
  • L’économie de la fonctionnalité : qui consiste à privilégier l’usage à possession. Pour les entreprises, il s’agit de répondre à un besoin en offrant un service plutôt qu’en vendant un produit.
  • La consommation responsable : dans lequel l’entreprise facilite et promeut l’adoption de choix de consommation avec un impact environnemental moindre.
  • L’allongement de la durée d’usage : en maximisant le potentiel de réemploi, et la réparabilité des produits proposés ou en permettant la revente et l’achat d’occasion.
  • Le recyclage : qui revient à offrir des produits recyclables facilement (filière existante et mature à l’échelle locale).

Quels avantages pour les entreprises ?

Opter pour un modèle intégrant l’économie circulaire présente de nombreux avantages pour les entreprises.

1. Anticiper les évolutions réglementaires

La France et l’Europe se sont toutes les deux dotées d’une stratégie et d’une feuille de route portant sur l’économie circulaire. L’économie circulaire est de plus en plus intégrée dans la réglementation. Un exemple parlant est celui de la loi AGEC qui contraint les entreprises à modifier leurs pratiques.

2. Maîtriser les coûts

Annoncée depuis la fin des années 70, la raréfaction des ressources naturelles complexifie l’extraction de matières premières. Plusieurs matières comme le plomb, l’or, l’argent, le zinc ou encore le palladium, ont déjà atteint leur pic.

Dans ce contexte, les entreprises vont devoir faire face à une hausse des coûts d’approvisionnement.

Adopter une stratégie d’économie circulaire permet donc de limiter les coûts à la fois de l’approvisionnement mais également du traitement des déchets, également en hausse.

Comment mesurer les retombées d’une démarche d’économie circulaire ?

Tout d’abord, il est possible de mesurer les retombées directes pour l’entreprise en matière de :

  • Réduction des coûts de matières premières ;
  • Economies sur la gestion des déchets ;
  • Création de boucles de valorisation ;
  • Baisse des coûts d’acquisition dans une démarche d’économie de la fonctionnalité.

Ensuite, il est également possible de quantifier les retombées d’un mode de production circulaire pour la collectivité à travers :

  • Emplois soutenus dans les filières de recyclage et de la réparation ;
  • Emissions de CO2 évitées par le recyclage ou le réemploi ;
  • Gain de pouvoir d’achat pour les consommateurs grâce à l’allongement de la durée de vie.

3. Se positionner sur de nouveaux marchés

L’économie circulaire répond également à de nouvelles attentes des consommateurs : privilégier l’utilisation ou encore limiter son impact environnemental. Les entreprises peuvent ainsi accéder à ces segments de marché en proposant des produits éco-conçus ou de seconde main par exemple. L’économie circulaire permet ainsi de capter de nouveaux consommateurs et de fidéliser sa clientèle.

Elle permet aussi aux entreprises d’avoir une avance concurrentielle et de consolider leur modèle économique avant l’entrée sur le marché de leurs concurrents.

4. Gagner en compétitivité et en résilience

Privilégier des processus circulaires et des modes d’approvisionnement tournés vers le réemploi ou le recyclage permet de se protéger de pénuries ou de chocs exogènes. Les entreprises de l’économie circulaire sont également amenées à innover pour adapter leur modèle de production, distribution et économique, les rendant ainsi plus agiles.

5. Améliorer son image

Se tourner vers l’économie circulaire permet de piloter et de limiter son impact environnemental, qui constitue un risque d’image croissant. En effet, les consommateurs et les pouvoirs publics sont de plus en plus attentifs à ces enjeux. L’économie circulaire est également une source forte de partenariats. Elle permet de développer son ancrage territorial, en créant des boucles locales avec des acteurs publics, associatifs et privés et des réseaux de coopération dans une logique d’écologie industrielle territoriale.

Comment appliquer les principes de l’économie circulaire dans mon organisation ?

L’économie circulaire est un référentiel, un système de fonctionnement vers lequel vous pouvez choisir de vous orienter.

Cependant, mettre en œuvre une stratégie d’économie circulaire doit se faire en accord avec votre stratégie globale. Le choix des leviers à activer différera en fonction des ressources financières et humaines internes, des caractéristiques produits et du positionnement de marché.

Les experts de Goodwill-management vous accompagnent dans votre transition vers l’économie circulaire, découvrez nos solutions !

La neutralité carbone : qu’est-ce que c’est ?

La neutralité carbone : qu’est-ce que c’est ?

La neutralité carbone : de quoi s’agit-il ?

De plus en plus présente dans les stratégies climatiques des États et des entreprises, la neutralité carbone est le nouvel engagement phare quand on parle de climat. Parfois encouragée, parfois décriée, elle fait couler beaucoup d’encre et peut sembler floue ou complexe. Dans cet article, nous reviendrons sur toutes ses facettes : que signifie être « neutre » en carbone ? Comment atteindre la neutralité ? À qui s’adresse-t-elle ?

Que signifie être « neutre » en carbone ?

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) considère que la neutralité carbone est atteinte au moment où « les émissions anthropogéniques de dioxyde de carbone sont compensées à l’échelle planétaire par les absorptions anthropogéniques de dioxyde de carbone au cours d’une période donnée »1.
Autrement dit, la neutralité carbone revient limiter nos émissions de dioxyde de carbone (CO2) pour ne pas excéder les capacités d’absorption à l’échelle planétaire.

Les puits de carbone sont des systèmes qui absorbent plus de carbone qu’ils n’en rejettent. On distingue les puits de carbone naturels, comme les océans, les sols et les forêts qui stockent de grandes quantités de CO2, ou artificiels. Les puits artificiels sont des procédés expérimentaux et souvent considérés comme incertains. Les écosystèmes sont à l’origine de la majorité de l’absorption, bien que leur intégrité soit menacée (acidification des océans, déforestation…).

Le CO2 n’est pas le seul gaz à effet de serre (GES), bien qu’il représente 75% de nos émissions2. D’autres gaz, comme le protoxyde d’azote ou le méthane, contribuent au dérèglement climatique. L’accord de Paris couvre l’ensemble des GES en portant un objectif d’équilibre en termes de GES à atteindre au cours de la deuxième moitié du 21e siècle (article 4) ; on parle alors de neutralité climatique. Le 7 octobre 2020, le Parlement européen a voté pour un objectif de neutralité climatique en 20503, et a encouragé les États membres à décliner cet objectif au niveau national, ce qu’ont fait la Suède, le Danemark, la France, l’Allemagne et la Hongrie.

Comment atteindre la neutralité carbone ?

La neutralité climatique repose sur le point d’équilibre entre nos émissions de GES et la capacité d’absorption des puits naturels et artificiels.

Il est donc possible de l’atteindre en jouant sur deux leviers : réduire nos émissions et augmenter les capacités d’absorption à l’échelle planétaire.

Cependant ces deux leviers ne se valent pas. L’Ademe a souligné dans son avis sur la neutralité carbone que la priorité était bien de réduire nos émissions4. Ceci est lié au déséquilibre entre les GES que nous rejetons et la capacité d’absorption planétaire. D’après le Giec, même si nous mettons en place une reforestation intensive à l’horizon 2050, les sols et les forêts ne seraient capables d’absorber que 4 milliards de tonnes de nos émissions de GES (en équivalent CO2) par an5. Or nos émissions excèdent largement les capacités d’absorption, étant donné qu’en 2018 nous avons émis 55 milliards de tonnes6, soit presque 14 fois plus !

La première étape est de mettre en place une stratégie ambitieuse pour réduire ses émissions.
Pour les entreprises, le premier pas est de réaliser un bilan d’émissions de GES, qui permettra d’identifier les postes d’émissions les plus importants et les actions de réduction à mettre en place. Cet exercice est à mener sur l’ensemble du cycle de vie de votre produit ou service (de l’extraction de matières premières, jusqu’à sa gestion en tant que déchet) pour prendre en compte la totalité des émissions de GES.

Dans un second temps, et lorsque l’entreprise a réduit ses émissions jusqu’à un niveau incompressible, il est possible d’activer le second levier, à savoir l’augmentation des puits carbone. Les entreprises contribuent à cet objectif en finançant des projets de séquestration carbone. Ceci ne doit en aucun cas se faire au détriment de la réduction des émissions de GES, qui nécessite des investissements pendant plusieurs années. La réduction des émissions à court terme sera toujours plus efficace que les émissions potentiellement absorbées dans le futur.

Quel rôle les entreprises ont-elles à jouer ?

Le défi climatique est d’ampleur et tous les acteurs ont un rôle à jouer pour que nous puissions atteindre la neutralité carbone. Cependant, le concept de neutralité carbone n’est valable qu’à l’échelle planétaire et des acteurs individuels ne peuvent pas le revendiquer.

Les entreprises ne peuvent donc pas affirmer qu’elles sont neutres en carbone ou que les produits et services qu’elles proposent le sont ; l’observation montre que ces revendications concernent des périmètres très disparates et incomplets. En revanche, les entreprises contribuent et participent à la transition mondiale vers la neutralité carbone en réduisant leurs émissions et en mettant en place des stratégies compatibles avec l’accord de Paris.

Pour contribuer à la neutralité planétaire, les entreprises peuvent porter une stratégie climatique ambitieuse et promouvoir cet objectif auprès de leurs parties prenantes en7 :

  • Réduisant au plus vite leurs émissions de GES sur l’ensemble de leur chaîne de valeur et en communiquant de manière transparente leurs progrès ;

  • Réduisant les émissions de leurs clients en proposant des produits et services bas carbone ;

  • Augmentant les puits de carbone en développant des solutions d’absorption dans leur production et en finançant des projets d’absorption dans et hors de leur chaîne de valeur.

Les experts de Goodwill-mangement vous accompagnent dans la définition d’une stratégie climat ambitieuse, découvrez nos solutions !

Les Alpes, une richesse naturelle, humaine et immatérielle

Les Alpes, une richesse naturelle, humaine et immatérielle

Après l’équitation française, le compagnonnage, le yoga indien ou le reggae jamaïcain, la pratique de l’alpinisme pourrait entrer au patrimoine culturel immatériel (PCI) de l’Unesco. Une décision positive de l’UNESCO le 12 décembre impliquerait la reconnaissance et la protection de la pratique de l’alpinisme.

Le patrimoine culturel immatériel, c’est quoi ?

En 2003, le patrimoine culturel immatériel est créé à la suite d’une convention pour la sauvegarde de ce dernier signée par 178 pays. Selon la définition de l’UNESCO, seules les « traditions vivantes héritées de nos ancêtres et transmises à nos descendants, parmi lesquelles les connaissances et pratiques concernant la nature et les savoir-faire nécessaires à ces activités traditionnelles » sont admises au PCI. Une pratique inscrite au PCI bénéficie d’une portée internationale et d’une politique de préservation.

L’alpinisme, une pratique vivante et universelle à préserver

L’alpinisme est l’art de gravir les montagnes par ses propres moyens et dans le respect du milieu naturel. L’alpinisme naît officiellement avec la première ascension du Mont-Blanc en 1786, ce qui explique son origine étymologique.

L’alpinisme constitue une pratique vivante et universelle puisqu’elle est ouverte à tous et en toute saison. Cette activité implique apprentissage, pratique et transmission. Il s’agit à la fois d’une tradition, d’un héritage et parfois même d’un art de vivre.

Il aura fallu près de 10 ans au territoire du Mont-Blanc pour faire aboutir ce projet en partenariat avec l’Italie et la Suisse. C’est finalement en mars 2018 que le Ministre français de la Culture présente la candidature de l’alpinisme à l’UNESCO. 99 alpinistes, les clubs alpins, les associations de guides, les collectivités locales et les Ministres de la Culture de la France, de l’Italie et de la Suisse soutiennent cette candidature.

Classer l’alpinisme au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, c’est reconnaître une portée internationale à cette pratique et l’importance de la préserver en garantissant :

  • Le libre accès à la montagne,
  • La formation des professionnels et des jeunes,
  • L’aménagement de la montagne en préservant notamment les 126 refuges en France,
  • Une meilleure prévention pour éviter les accidents et limiter la judiciarisation de la pratique,
  • Enfin, la protection de ce milieu naturel exceptionnel et les conditions indispensables à la pratique de l’alpinisme.

Les Alpes, une richesse humaine, naturelle et économique

Au-delà de cette pratique vieille de plus de 200 ans, c’est tout un écosystème humain, naturel et économique qui gravite autour des Alpes. Ainsi ce sont les compétences des guides, l’accueil dans les refuges ou encore le milieu naturel exceptionnel qui permettent la pratique de l’alpinisme.

Les atouts des Alpes confèrent à cette chaîne de montagnes une attractivité particulière. En 2017, on dénombre 66,7 millions de nuitées sur le territoire Savoie Mont-Blanc. Mais cette fréquentation élevée qui soutient près de 56 000 emplois, lui fait également courir plusieurs risques.

Le tourisme est générateur de pollutions et les scientifiques ont montré que les montagnes se réchauffent près de 2 fois plus vite que les plaines (étude en PDF).

Face à ces enjeux, les Domaines Skiables de France se sont saisis du sujet et les professionnels sont conscients que pour répondre à l’urgence climatique, ils doivent se réinventer : développer des compétences et savoir-faire nouveaux (production d’énergies renouvelables, captation du CO2…) et de nouveaux modes d’organisation (moyens d’accès aux montagnes, baisses des émissions de CO2 liées au tourisme…), bref développer leur capital immatériel pour assurer la pérennité de leur activité et du milieu naturel.

Dès 2015, Goodwill-management évalue la richesse immatérielle des Alpes françaises

Associer les Alpes et le concept d’immatériel n’est pas une première. Depuis plusieurs années, les décideurs ont compris l’importance de préserver les écosystèmes humain, naturel et immatériel des territoires. C’est d’ailleurs dans le cadre du programme, « La Montagne. Nouvelle Définition. » que Goodwill-management a étudié la valeur des Alpes, en prenant en compte sa richesse immatérielle.

Cette approche innovante a évalué pour la première fois la valeur de plusieurs départements alpins dont l’Isère, la Savoie, la Haute-Savoie et Hautes Alpes.

Traditionnellement, la richesse d’un territoire est mesurée à l’aide du PIB, mais les limites de cet indicateur ne font aujourd’hui plus aucun doute. Les compétences des professionnels de la montagne, la beauté des milieux naturels, la présence de biodiversité ou encore le patrimoine n’y ont que peu de place.

En intégrant la richesse immatérielle ou encore le milieu naturel au calcul de sa valeur, Goodwill-management identifie mieux les forces et les faiblesses du territoire. Cette approche révèle alors sa richesse cachée, une richesse qui n’est pas prise en compte dans les méthodes économiques classiques, alors qu’elle est garante de la durabilité du territoire.

Voici les différents actifs qui composent la valeur du territoire :

70% de la valeur des Alpes françaises est immatérielle

Cette étude a démontré que chaque département possède ses spécificités.

La richesse de la Savoie et de la Haute-Savoie réside par exemple dans la puissance et la notoriété des marques territoriales, dans les grands événements qui y sont organisés ou encore dans les entreprises qui y sont implantées.

Du côté de l’Isère, son point fort est le capital humain avec son niveau de formation, mais aussi ses savoir-faire à travers ses brevets et ses pôles d’innovation.

Enfin pour les Hautes-Alpes, un des départements les moins peuplés de France, la valeur réside en particulier dans son capital naturel.

Mesurer la valeur d’un territoire en identifiant tout ce qu’elle a d’immatériel, permet d’avoir une vision plus juste des forces et des faiblesses de ce dernier. Au final, cet exercice est un excellent outil pour identifier les atouts d’aujourd’hui et pour construire sa stratégie de demain.
Ariane Favier

Holo Way

Le 11 décembre, l’alpinisme été reconnu comme Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO. Un signal fort qui devrait impulser une vraie réflexion des professionnels de la montagne et de ses habitants sur les enjeux immatériels de demain.

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