RSE : quels avantages pour les entreprises ?

RSE : quels avantages pour les entreprises ?

Le profit ne peut plus être le seul moteur de l’entreprise. Elle joue un rôle central pour répondre aux défis sociaux et environnementaux. Sur le volet social, l’entreprise peut améliorer les conditions de travail, contribuer à réduire les inégalités ou encore au développement économique du territoire. Sur le volet environnemental, elle peut s’engager à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, ses déchets, préserver la biodiversité ou encore éco-concevoir ses produits et services…

Chez Goodwill-management, nous sommes convaincus que la RSE sera une condition de survie de l’entreprise de demain. Dans cet article, vous trouverez les 10 avantages de la RSE pour une entreprise.

S’engager en RSE, des avantages concrets pour l’entreprise

Réduire ses risques

Evoluant dans un environnement de plus en plus complexe, les entreprises font face à de multiples risques : environnementaux, climatiques, sociaux, économiques, juridiques ou encore réputationnels…

Intégrer la RSE au coeur de sa stratégie permet de réduire les risques. Plus résiliente, une entreprise engagée en RSE va par exemple assurer son approvisionnement en matières premières en sélectionnant des ressources disponibles, locales et renouvelables.

Améliorer sa marque employeur, motiver ses équipes et attirer les talents

Votre engagement RSE renforce votre marque employeur. L’ISO 26000 dédie d’ailleurs l’une de ces 7 questions centrales aux relations et conditions de travail. Une entreprise responsable crée donc un environnement de travail épanouissant pour les collaborateurs.

Au-delà de la qualité de vie au travail, la RSE redonne du sens au travail des collaborateurs. L’entreprise fidélise ainsi ses collaborateurs. Ils sont plus motivés et gagnent en productivité.

(Re)donner du sens à l’entreprise

Pour mettre en place une démarche RSE pertinente et à la hauteur de ses enjeux, l’entreprise doit intégrer la RSE au coeur de sa stratégie. Pour réussir sa démarche RSE, 2 conditions doivent être réunies, la direction doit porter le sujet au plus haut niveau et l’ensemble des collaborateurs doivent s’en emparer.

En développant son engagement RSE, l’entreprise transforme ses pratiques à tous les niveaux pour que son développement soit soutenable et compatible avec les limites planétaires.

Depuis 2019 avec la publication de la loi PACTE, l’entreprise peut aller plus loin en devenant une société à mission. Une entreprise à mission inscrit sa raison d’être dans ses statuts et définit des objectifs à atteindre pour réaliser sa mission. Une société à mission devient alors redevable et doit démontrer à travers un audit externe qu’elle respecte sa mission et atteint ses objectifs sociaux et/ ou environnementaux.

Faire des économies 

La RSE est souvent perçue comme un centre de coûts. Or, de nombreuses études démontrent qu’en matière de RSE, les coûts sont souvent visibles et les bénéfices cachés.

Pour une démarche environnementale, il est assez aisé de démontrer qu’elle génère des économies pour l’entreprise à court et moyen terme, notamment en réduisant le gaspillage. Par exemple, une entreprise qui réduit sa consommation en eau ou en électricité va réduire ses dépenses.

Il est possible de mesurer le retour sur investissement ou ROI de nombreuses actions RSE.

Prenons l’exemple du recrutement, en moyenne le coût de remplacement d’un collaborateur est estimé à 6 mois de salaire pour l’entreprise. En réduisant son turnover, l’entreprise réduit donc ses coûts et améliore sa performance économique.

Anticiper les évolutions réglementaires

Le principal prérequis pour mettre en place une démarche RSE est de respecter la réglementation. S’engager en RSE permet donc d’anticiper la réglementation, puisqu’elle relève d’un engagement volontaire de la part de l’entreprise.

Par exemple, si certaines organisations, comme les entreprises de plus de 500 salariés, doivent réaliser un bilan carbone réglementaire, de nombreuses PME ont déjà réalisé leur bilan carbone et défini une stratégie pour réduire leurs émissions de GES. Si la réglementation se durcit, ces entreprises auront déjà une longueur d’avance sur le sujet.

Innover de manière responsable

Devenir plus responsable, c’est imaginer les solutions de demain, innover et transformer durablement les pratiques de l’entreprise.

Faire grandir son engagement RSE implique une démarche d’amélioration continue. En effet, réduire l’impact environnemental de ses produits et des services, tout en contribuant au développement économique du territoire, demande un investissement conséquent pour l’entreprise. Un investissement bien entendu rentable à long terme !

S’engager en RSE, des avantages vis-à-vis des parties prenantes de l’entreprise

Améliorer la réputation et l’image de l’entreprise

Intégrer la RSE au coeur de votre stratégie améliore la confiance et l’acceptabilité de vos parties prenantes envers les activités de votre entreprise. Avec une démarche RSE exigeante et crédible, votre entreprise obtiendra plus facilement sa “licence to operate”.

Satisfaire les attentes de ses clients et des consomm’acteurs

Selon le baromètre 2021 de la consommation responsable de Greenflex, 85% des Français considèrent que les entreprises et les marques ont une très forte responsabilité d’agir en faveur de la consommation responsable.

Visiblement la crise sanitaire a accéléré la prise de conscience des citoyens et des consommateurs face aux défis sociaux et environnementaux. De plus en plus informés et vigilants, ils attendent que l’entreprise joue un rôle dans la transition écologique et solidaire.

Ce phénomène devrait se renforcer dans les prochaines années, l’entreprise devra donc de plus en plus faire preuve de transparence vis-à-vis des impacts économiques, sociaux et environnementaux de ses activités. En parallèle, elle devra accompagner de nouveaux modes de consommation plus responsables.

Se différencier de ses concurrents et remporter de nouveaux marchés

De plus en plus d’appels d’offres intègrent des critères RSE ou ESG. Or ces critères pèsent de plus en plus dans le choix de fournisseurs. Valorisez vos actions RSE et votre impact positif sera indispensable pour obtenir de nouveaux marchés et vous différencier de vos concurrents.

L’évolution du reporting RSE et la mise en place de la taxonomie verte européenne devraient renforcer ce phénomène.

Selon une étude de l’organisme britannique des certifications, les entreprises disposant de certifications RSE sont jusqu’à 66% plus susceptibles d’être identifiés comme des partenaires de business et de gagner des parts de marché.

Attirer des investisseurs

Du côté des investisseurs, les critères RSE et ESG sont également de plus en plus pris en compte.

Avec la taxonomie verte, l’Union Européenne souhaite identifier les activités compatibles avec la transition écologique et harmoniser les pratiques de reporting. Les investisseurs et les entreprises soumises à la taxonomie verte devront communiquer sur le pourcentage de leurs activités compatibles avec la transition écologique. Cette nouvelle mesure devrait inciter les investisseurs à se tourner vers les entreprises engagées dans la transition écologique

En conclusion

La RSE contribue à la performance globale de l’entreprise et deviendra une question de survie. Selon France Stratégie, les entités qui intègrent les critères ESG ont augmenté leur performance en moyenne de 13%.

En conclusion, la RSE n’est donc pas une contrainte mais bien un investissement contribuant à la pérennité de l’entreprise.

L’année 2021 de Goodwill-management

L’année 2021 de Goodwill-management

Découvrez les temps forts de l’année 2021 de Goodwill-management !

RSE : Goodwill-management renouvelle son label LUCIE 26000

Depuis 2014, Goodwill-management fait reconnaître son engagement RSE par le label LUCIE 26000, le premier label RSE français. Cette labellisation garantit à la fois le sérieux de notre démarche RSE auprès de l’ensemble de nos parties prenantes et nous donne un rythme. Tous les 3 ans, Goodwill-management fait appel à un évaluateur externe, qui passe en revue nos actions et les remet en question, afin de construire un nouveau plan d’action pour aller toujours plus loin et améliorer notre impact. 

L’année 2021 a débuté avec le renouvellement de notre label LUCIE 26000 pour 3 ans. Au programme, 4 groupes de travail travaillent tout au long de l’année pour :

  • Améliorer la qualité de vie au travail ;
  • Contribuer à la neutralité carbone ;
  • Adopter une sobriété numérique ;
  • Et préserver de la biodiversité.

Développer de nouveaux outils pour développer votre impact positif 

En 2021, Goodwill-management a multiplié les outils pour développer votre impact positif et des modèles économiques soutenables avec : 

  • La triple empreinte
  • Les bilans carbone
  • Accompagnement pour devenir société à mission
  • Le numérique responsable

La triple empreinte, méthode de comptabilité intégrée

En 2021, Goodwill-management a accompagné de nombreuses entreprises dans la mesure de leur triple empreinte économique, sociale et environnementale. Facile à évaluer, la triple empreinte permet d’évaluer à la fois l’impact de l’entreprise et de sa chaîne de fournisseurs, lui permettant ainsi d’identifier des leviers pour améliorer son impact économique, sociale et environnementale.

La méthode de la triple empreinte est valorisée dans le guide de la comptabilité intégrée de l’ORSE, du C3D et d’OREE publié en novembre 2021.

La comptabilité intégrée est un outil de transformation de l’entreprise à la portée de tous.

La réalisation de bilans de gaz à effet de serre

Accrédité par l’ADEME, Goodwill-management a réalisé près d’une vingtaine de bilans de gaz à effet de serre en 2021.

En novembre dernier, nous avons également sensibilisé la Communauté LUCIE, plus de 950 organisations engagées en RSE, à la méthodologie Act Pas à Pas de l’ADEME.

En 2022, nous poursuivons bien entendu notre accompagnement vers des trajectoires bas carbone.

Devenir une société à mission

En 2021, Goodwill-management a également développé la méthode PROUD & FOCUS pour permettre aux organisations de définir leur raison d’être et de devenir société à mission

Afin de montrer l’exemple, l’équipe de Goodwill-management travaille actuellement à la définition de sa propre raison d’être avec pour objectif de devenir une société à mission dans les prochains mois.

En 2022, nous irons plus loin sur le sujet en nous concentrant sur la définition des indicateurs d’impact de la société à mission.

Développer la responsabilité numérique de votre entreprise

En 2021, Goodwill-management a multiplié ses réalisations en matière de numérique responsable. Nous avons par exemple accompagné OCTO Technology dans la mesure de l’impact environnemental d’une application numérique. Notre équipe a également accompagné Pole Emploi dans l’intégration de critères environnementaux à toutes les étapes du cycle de vie des services numériques.

En 2022, Goodwill-management va poursuivre son engagement en faveur d’un numérique plus sobre éthique et inclusif en améliorant sa méthodologie de mesure de l’impact du numérique et en formant ou auditant des organisations à la labellisation Numérique Responsable du niveau 1 en partenariat avec Baker Tilly STREGO.

Les études et missions marquantes de l’année

Etude sur la maturité RSE des PME

Représentant plus de 99 % du nombre total des entreprises françaises (4 millions de PME) et employant près de 50 % des salariés*, les PME sont donc un maillon essentiel pour faire progresser la transition sociale et environnementale du pays.

Cette étude réalisée par Goodwill-management en partenariat avec Baker Tilly STREGO, l’Agence LUCIE et MAIF répond à 3 questions :

  • Où en sont les PME en matière de RSE ?
  • Quels sont les profils types de PME engagées en RSE ?
  • Quels sont les leviers à actionner par les PME pour développer leurs engagements responsables ?

Etude sur les low-tech en entreprise pour l’ADEME IDF

Ce livre blanc présente les résultats de l’étude réalisée par Goodwill-management, en partenariat avec le Low-tech Lab.

Financée par l’ADEME Ile-de-France, cette étude se compose d’un livre blanc et de 10 fiches (au format PDF) récapitulant les solutions low-tech identifiées pour les différentes organisations ayant participé à cet accompagnement.

Le livre blanc détaille la méthodologie utilisée par Goodwill-management pour sélectionner des solutions low-tech, évaluer leur impact économique, social et environnemental et identifier les freins principaux à leur mise en place. Cette étude a été réalisée en partenariat avec le Low-tech Lab.

Au premier trimestre 2022, Goodwill-management publiera une nouvelle étude financée par l’ADEME autour de la définition des low-tech en France.

Etude sur la stratégie de relocalisation et de localisation en Bretagne

Le réseau Produit en Bretagne (PEB), dont la mission est de participer à la dynamique économique, culturelle et responsable de la Bretagne, a fait appel à Goodwill Management pour réaliser la première étude sur le potentiel de relocalisation et de localisation en Bretagne.

Il s’agit de la première étude française autour du sujet de la relocalisation à l’échelle d’un territoire.

Etude sur l’impact de l’apprentissage sur les finances publiques

A la demande de l’Association Walt, Goodwill-management a mesuré l’impact économique de l’apprentissage sur les finances publiques.

Résultat : chaque apprenti rapporte 3368€ aux finances publiques.Miser sur l’apprentissage n’est donc pas un coût mais un investissement pour la société !

Sport en entreprise : quels dispositifs pour mettre en mouvement les salariés ?

En prévision des Jeux Olympiques de 2024, le gouvernement français a publié une liste d’objectifs stratégiques sur la pratique d’une activité sportive en France. Parmi les 170 objectifs, 4 sont en lien avec la promotion du sport en entreprise. Cette étude traite de l’objectif 21, qui concerne la clarification de la nature juridique des dépenses portées par l’employeur pour le développement du sport en entreprise.

Retrouvez l’ensemble des études Goodwill-management sur la page Publications de Goodwill-management.

Les nouveaux Goodwilliens et Goodwilliennes

Pour renforcer l’équipe, 6 nouveaux Goodwilliens et Goodwilliennes nous ont rejoint en 2021 :

  • Lise Naour,
  • Sihem Benzerga,
  • Antoine Payot, (à ajouter)
  • Michaël Leroy,
  • Camille Hérisson Baker,
  • Benjamin Guignard

De nouveaux bureaux dans le 8ème

En juillet, Goodwill-management a emménagé dans les locaux de Baker Tilly STREGO au 16 rue de Monceau – PARIS 08. Cette nouvelle étape renforce notre rapprochement avec Baker Tilly STREGO en tant que pôle développement durable du groupe.

Rendez-vous en 2022 pour adopter une trajectoire plus soutenable ! 

Le jour du dépassement

Le jour du dépassement

Le 28 juillet, l’humanité a consommé toutes les ressources renouvelables que la planète peut produire en un an, selon l’ONG Global Footprint Network.

Si le jour du dépassement a exceptionnellement reculé de 3 semaines en 2020 en raison des mesures pour lutter contre la crise sanitaire. Ce recul aura été de courte durée puisque le jour du dépassement est intervenu en 2021 le 29 juillet et le 28 en 2022.

Jour du dépassement en 1970 : 29 décembre

Jour du dépassement en 1990 : 11 octobre

Jour du dépassement en 2022 : 28 juillet

Concrètement comment se calcule le jour du dépassement ?

Global Footprint Network, un institut international de recherche qui conseille les gouvernements et les institutions financières en matière de gestion des ressources naturelles et de changement du climat, réalise chaque année un calcul pour déterminer le « jour du dépassement » (overshoot day en anglais).

A partir de données fournies par l’ONU, elle compare l’exploitation des ressources naturelles de la Terre par l’Homme avec la capacité de la planète à régénérer ces ressources tout en absorbant les déchets produits.

Le Jour du Dépassement Global indique chaque année la date à laquelle la demande exercée par l’humanité sur la nature (Empreinte Écologique) dépasse la capacité de la planète à régénérer ces ressources et à absorber les déchets dont les émissions de carbone (biocapacité).

Jour du dépassement = ( Biocapacité / Empreinte écologique ) X 365

Le calcul de la biocapacité

Les terres cultivées, les forêts, les prairies, les zones de pêches n’ont pas toutes la même biocapacité. Or pour mesurer notre empreinte écologique, il faut additionner ces surfaces entre elles. C’est pourquoi une unité de mesure a été inventée : l’hectare global (il s’agit de l’espace biologiquement productif, avec une productivité mondiale moyenne). Elle s’appuie sur le rendement agricole de chaque surface : plus une surface peut produire de ressources, plus elle compte d’hectares globaux.


Le calcul de l’empreinte écologique


Selon l’échelle utilisée (locale, nationale ou internationale), les données disponibles ne sont pas les mêmes et les méthodes de calculs varient. Il est parfois difficile de s’y retrouver pour les entreprises qui souhaitent mesurer leur empreinte écologique. Par exemple, Goodwill-management et des experts du sujet de l’École des Mines de Saint-Etienne ont accompagné l’INPI dans le calcul de son empreinte écologique en 2013.

Il faut également noter que l’empreinte écologique ne prend pas en compte les prélèvements d’eau douce, les pertes de biodiversité, les pollutions par des substances toxiques, la notion d’épuisement des ressources naturelles et les risques naturelles et industrielles.

Un indicateur utile qui contribue à la prise de conscience


Le jour du dépassement n’est donc pas une donnée absolue mais bien un indicateur utile qui illustre, de manière simple, une nature complexe. De plus, les résultats sont sans appel, chaque année le jour du dépassement avance un peu plus.

La surexploitation des ressources naturelles conduit à l’endommagement du capital naturel du monde sous forme de déforestation, d’érosion des sols, d’appauvrissement de la biodiversité, ou encore d’accumulation de carbone dans l’atmosphère. Si nous ne changeons rien et continuons à puiser autant de ressources, nous aurons besoin de l’équivalent de 2 planètes en 2030 et notre jour de dépassement sera avancé à la fin du mois de juin.

Les solutions

En décembre 2016, près de 200 pays ont signé l’Accord de Paris sur le climat. L’objectif est de maintenir le réchauffement climatique en deçà de 2°C par rapport aux températures de la période pré-industrielle. Pour atteindre cet objectif ambitieux, l’humanité doit atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Cette trajectoire va nécessairement impliquer des modifications profondes à tous les niveaux de l’économie et la mobilisation de tous. 

De nombreuses initiatives se développent au quotidien pour répondre à ce défi. Par exemple, le Global Footprint Network a lancé la campagne #MOVETHEDATE, destinée à mobiliser le grand public sur ce sujet. Elle s’articule autour d’une série d’actions réalisables par tous au quotidien comme par exemple organiser un diner végétarien, réduire sa consommation d’énergie ou encore faire du covoiturage. 

Financez votre transition écologique avec France Relance

Financez votre transition écologique avec France Relance

Dans le cadre du plan France Relance, l’ADEME propose des aides et subventions pour aider les TPE-PME à se lancer dans la transition écologique.

Jusqu’à 80% du montant total de votre diagnostic ou de votre investissement peut-être pris en charge pour les TPE-PME. Découvrez les accompagnements proposés par Goodwill-management :

  • Stratégie climat avec la méthodologie ACT pas à pas
  • Gestion des déchets
  • Écoconception des produits et services
  • Numérique responsable

Financez votre transition écologique avec France Relance

Décryptage de France Relance

Afin de soutenir l’activité économique à la suite de la crise sanitaire et de préparer l’avenir, le gouvernement a lancé un plan de relance de 100 milliards d’euros s’articulant autour de 3 priorités :

  • Écologie
  • Compétitivité
  • Cohésion

Cet article se concentre sur le volet écologique, qui représente 30 milliards d’euros de financement sur les 100 milliards du plan de relance. L’objectif est d’accélérer la transition écologique de l’économie française pour qu’elle soit plus durable, plus économe en ressources naturelles et d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

Concrètement le plan de relance a donné naissance à une aide portée par l’ADEME : le Tremplin pour la transition écologique des TPE et PME. Il faut noter que ces subventions ont pour objectif d’aider les petites et moyennes entreprises à aller au-delà de la règlementation et prendre volontairement le virage de la transition écologique.

Quelles organisations peuvent en bénéficier ?

Les subventions du Tremplin pour la transition écologique s’adressent aux TPE et aux PME, quels que soient leur statut juridique (SAS, SCOP, association loi 1901) et leur secteur d’activité, à l’exception des auto-entrepreneurs.

Quelles actions sont éligibles aux subventions de l’ADEME ?

Il existe deux types de dispositifs pris en charge par le Tremplin pour la transition écologique des TPE et PME :

  • Des études et diagnostics
  • Des actions d’investissement

Goodwill-management vous accompagne sur le premier type de dispositifs : les études et diagnostics. Quelques exemples d’accompagnement sont présentés à la suite de cet article.

Une vingtaine de dispositifs peuvent être pris en charge et couvrent l’ensemble des domaines de la transition écologique :

Icone empreinte écologique - Goodwill Management

Lutte contre le réchauffement climatique

Picto thermomètre - Goodwill Management

Production de chaleur et de froid des bâtiments industriels ou agricoles

Picto cercle avec 3 flèches - Goodwill Management

Économie circulaire et gestion des déchets

Picto label - Goodwill Management

Eco-conception et labellisation

Afin d’être éligible, la demande doit tout de même satisfaire plusieurs critères :

  • Le coût total des opérations subventionnées est supérieur au montant de l’aide accordée ;
  • Le montant total de l’aide est supérieur à 5 000 € et inférieur à 200 000 € ;
  • Le projet doit être réalisé sur une durée maximale de 18 mois.

La subvention ne sera par ailleurs octroyée que si la demande est complétée avant la validation du devis des dispositifs concernés.

Les avantages du dispositif 

Avec le Tremplin pour la transition écologique, le gouvernement et l’ADEME facilitent la demande de subvention pour les TPE et PME avec :

  • Une demande de dossier simplifiée
  • Un dossier unique en cas de sollicitation de plusieurs aides
  • Une instruction accélérée
  • Une avance de 30% à la signature

Les accompagnements proposés par Goodwill-management et éligibles à France Relance

Dans le cadre de France Relance, Goodwill-management vous accompagne sur 3 domaines :

  • Lutte contre le réchauffement climatique
  • Stratégie économie circulaire et déchets
  • Numérique responsable

Lutter contre le réchauffement climatique

#1 Définir une stratégie bas carbone avec ACT « pas à pas »

Vous débutez et vous souhaitez intégrer une stratégie bas carbone pas à pas ? Goodwill-management vous accompagne dans le déploiement de la méthode ACT « pas à pas » de l’ADEME.

Avec ACT « pas à pas », vous vous fixez des objectifs pertinents et vous ancrez l’enjeu climat dans le développement de votre entreprise à moyen ou long terme.

La méthode ACT « pas à pas » est en cours de déploiement par l’ADEME.

#2 Evaluer la pertinence de votre stratégie bas carbone

Vous avez déjà mis en place une stratégie bas carbone et vous vous interrogez sur la pertinence de vos plans d’action au regard des enjeux du réchauffement climatique ? Goodwill-management vous accompagne dans le déploiement de la méthode ACT développée par l’ADEME et le CDP.

Goodwill-management est accrédité ACT.

Stratégie économie circulaire et déchets

Intégrer l’économie circulaire à son activité permet pour un produit ou un service de :

  • Limiter la consommation de ressources en amont ;
  • Allonger la durée de vie sur l’ensemble du cycle de vie ;
  • Et de jeter le moins possible, voir de pouvoir en réutiliser une partie.

Le dispositif France Relance peut vous aider à intégrer l’économie circulaire et l’écoconception à vos activités.

#1 Développer un approvisionnement durable

En 2020, l’ADEME a publié une méthode pour réaliser un bilan matières.

En réalisant son bilan matières, l’entreprise identifie à la fois sa « vulnérabilité matières », c’est-à-dire les risques associés aux approvisionnements de matières sur tous les aspects (économique, environnemental et social) et son « efficience matière », la consommation de matières au travers de ses pratiques de production.

L’objectif d’une telle étude est de prendre conscience de ses enjeux afin de hiérarchiser et de prioriser des actions permettant à la fois des faire économies et de réduire son impact environnemental.

#2 Ecoconcevoir ses produits ou ses services

Le principe de l’écoconception est d’intégrer la dimension environnementale dans la conception d’un produit ou d’un service sur toutes les phases de son cycle de vie.

Goodwill-management peut vous accompagner grâce au Tremplin de l’ADEME dans les premiers pas de l’écoconception.

Concrètement, nos experts évaluent l’impact environnemental d’un produit ou d’un service, identifient des leviers pour améliorer cet impact. Une fois mis en oeuvre, il s’agit de procéder à une nouvelle évaluation et de recommencer le processus dans une démarche d’amélioration continue.

Il existe plusieurs méthodes pour évaluer l’impact environnemental d’un produit ou d’un service. Nos experts vous aideront à déterminer la méthode la plus pertinente au regard de votre activité.

En matière d’écoconception, il est également possible de financer un diagnostic pour réduire les emballages ou remplacer des emballages plastiques ou encore la mise en oeuvre d’un affichage environnemental pour les produits et services de l’entreprise.

#2 Améliorer la gestion des déchets

En France, la réglementation liée à la gestion des déchets évolue rapidement (biodéchets, tri 5 flux, loi AGEC…). En parallèle, les charges liées à la gestion des déchets augmentent. La loi de finances 2019 a par exemple prévu une forte augmentation de la TGAP pour rendre la gestion des déchets ultimes plus chère.

L’ADEME estime que 90% des TPE-PME ne connaissent pas le coût complet de leurs déchets. C’est pourquoi l’accompagnement des TPE-PME sur ce sujet est essentiel.

Goodwill-management peut vous aider à optimiser la gestion de vos déchets en :

  • Réalisant un état des lieux et en calculant le coût complet des déchets de votre entreprise ;
  • Proposant des recommandations pour trier les déchets 5 flux (papier/carton, verre, bois, plastique, métal), les fractions minérales et le plâtre, toujours dans une logique d’optimisation des coûts ;
  • Analysant les processus pour la prévention des déchets (méthodes de comptabilité des flux matières)

Stratégie Numérique Responsable 

Goodwill-management peut également vous accompagner pour obtenir le label numérique responsable. Créé à l’initiative de l’INR, le label NR s’adresse à toutes les entreprises et propose une déclinaison sectorielle pour les Entreprises de services du numérique (ESN).

Comment candidater ? 

  1. Commencez par vérifier les conditions éligibilité ;
  2. Contactez-nous pour préciser votre besoin et obtenir un devis
  3. Inscrivez-vous sur le site agirpourlatransition.ademe.fr, répondez à un questionnaire pour lister l’ensemble des études et/ou investissements que vous comptez mettre en œuvre et qui peuvent bénéficier d’aides. 
  4. Déposez votre demande de subvention qui comprend un fichier généré automatiquement sur le site, le ou les devis scannés et votre RIB.

Les équipes de Goodwill-management et de Baker Tilly vous accompagnent !

FAQ RSE

FAQ RSE

Vous vous intéressez à la responsabilité sociétale ? Dans cette FAQ, Goodwill-management répond aux questions les plus fréquemment posées sur le sujet de la RSE. Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question, n’hésitez pas à nous laisser un commentaire, nous mettrons à jour la FAQ.

Bonne lecture !

Faut-il dire le ou la RSE ?

Bien entendu, on parle de LA responsabilité societale de l’entreprise (et non pas du réseau social d’entreprise) !

Comment expliquer simplement la RSE ?

« La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) aussi appelée responsabilité sociale des entreprises est l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. »

Commission européenne

Autrement dit, une entreprise engagée en RSE contribue aux enjeux du développement durable.

Quelle est la différence entre le développement durable et la RSE ?

 

Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.

Rapport Brundtland, 1987

Alors que le concept de développement durable apparaît à la fin des années 80, la responsabilité sociétale est mise sur le devant de la scène lors du Sommet de la Terre à Johannesbourg en 2002.

Concrètement, un citoyen peut transformer ses habitudes et contribuer au développement durable. Lorsqu’il s’agit d’une entreprise, on parle de responsabilité sociétale.

Une entreprise engagée en RSE intègre au coeur de ses activités les enjeux sociaux et environnementaux. Elle contribue ainsi aux enjeux du développement durable. A l’échelle de l’entreprise, l’objectif est de concilier développement économique, responsabilité sociale et environnementale, de manière éthique.

La RSE est réservée aux grandes entreprises !

Chez Goodwill-management, nous sommes convaincus que la RSE n’est pas l’apanage des grands groupes. Goodwill a d’ailleurs structuré sa démarche RSE dès 2014. Cet engagement est reconnu par le label LUCIE 26000. 

La RSE contribue à la performance économique de l’entreprise. Toutes les entreprises, quels que soient leur taille ou leur secteur d’activité, doivent se saisir de ce levier de croissance.

Si les grands groupes ont des moyens plus importants et des politiques RSE plus structurées, les TPE et PME partagent souvent les valeurs du développement durable et mettent en place des actions RSE, parfois même sans le savoir.

La RSE coûte chère !

Non, la RSE contribue à la performance économique de l’entreprise.

Selon une étude de France Stratégie (2016), les entreprises engagées en RSE affichent en moyenne 13% de performance économique en plus.

Un constat confirmé par la centaine de bilans économiques de la RSE réalisés par Goodwill-management. Pour convaincre toujours plus d’entreprises, nous avons développé un outil prédictif pour estimer le ROI d’une action RSE en fonction d’un investissement donné.

A travers ses études, Goodwill a identifié 4 types d’impact qui peuvent être valorisés pour une action RSE  :

  • Une augmentation du chiffre d’affaires
  • Des réductions de coûts
  • La réduction des risques
  • Ou l’amélioration de la productivité

Nos études ne prennent en compte que les impacts mesurables, certaines retombées positives ne sont donc pas intégrées. Voici quelques exemples :

C’est pourquoi la RSE n’est pas un coût mais bien un investissement pour l’entreprise !

La RSE, c’est « bullshit » !

Nos sociétés font face à un défi social et environnemental majeur. Les citoyens, les entreprises, les associations, l’Etat, tout le monde a un rôle jouer pour inventer les solutions qui permettront de répondre au dérèglement climatique, à l’effondrement de la biodiversité ou encore de réduire les inégalités.

Si certaines démarches relèvent du greenwashing, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à intégrer les enjeux sociaux et environnementaux au cœur de leurs activités. 

Et cela ne devrait pas s’arrêter. Les consommateurs, les jeunes et les collaborateurs sont de plus en plus conscients des enjeux et exigent des entreprises un comportement éthique et transparent.

Au sein de la Communauté LUCIE, découvrez des entreprises engagées et responsables !

La réglementation oblige t-elle les entreprises à s’engager en RSE ?

En théorie, la RSE relève d’un engagement volontaire de la part de l’entreprise. Une démarche de responsabilité sociétale dépasse donc le cadre réglementaire.

En pratique, au-delà de certains seuils, il existe des obligations réglementaires, notamment en matière de reporting pour les plus grandes entreprises.

Dès 2001, la loi NRE promeut la RSE en demandant aux sociétés cotées d’indiquer dans leurs rapports de gestion la manière dont elles prennent en compte les conséquences sociales et environnementales de leurs activités.

En 2009 et 2010, les lois Grenelle I et II viennent compléter la loi NRE en incluant le pilier sociétal au reporting et en élargissant les sociétés y étant soumises.

En 2017, la loi sur le devoir de vigilance impose aux très grandes entreprises (+ de 5000 salariés ayant leur siège social en France ) la mise en place d’un plan d’action pour prévenir les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance sur l’ensemble de la chaîne de fournisseurs.

En parallèle, la directive n°2014/95/UE est venue modifiée le cadre européen. Elle transforme le reporting RSE en reporting extra-financier puisqu’elle impose aux grandes entreprises d’inclure dans leur rapport de gestion une déclaration non financière en matière sociale et environnementale, ainsi qu’en matière de politique de diversité. Cette déclaration de performance extra-financière doit être accessible sur le site internet des sociétés concernées.

Enfin, depuis mai 2019, la loi PACTE consacre la RSE en modifiant l’article 1833 du Code Civil : « La société est gérée dans son intérêt social, en prenant en considération les enjeux sociaux et environnementaux de son activités ». Cette mesure s’adresse à toutes les entreprises.  

Pourquoi s’engager en RSE ?

Il existe tout un tas de bonnes raisons de s’engager en RSE. En voici quelques unes :

 

  1. Assurer la performance globale de votre entreprise à moyen et long terme et améliorer votre productivité ;
  2. Répondre aux attentes des consommateurs et de vos clients ;
  3. Innover et se différencier de vos concurrents notamment dans les appels d’offre ;
  4. Développer votre marque employeur et attirer les talents ;
  5. Réduire vos coûts et vos risques ;
  6. Améliorer votre réputation et votre image de marque ;
  7. Anticiper la réglementation qui se durcit au fil des années (loi NRE, Grenelle de l’environnement, loi de la Transition énergétique, loi de la Biodiversité, loi sur le devoir de Vigilance, loi Sapin II…).

Comment construire sa stratégie RSE ?

Voici les principales étapes pour définir une stratégie RSE alignée sur l’ISO 26000 :

  1. Identifier et hiérarchiser les parties prenantes de l’entreprise ;
  2. Réaliser un diagnostic et évaluer son niveau de maturité RSE ;
  3. Définir une stratégie RSE en identifiant les enjeux prioritaires à la fois pour l’organisation et ses parties prenantes à l’aide d’une matrice de matérialité ;
  4. Réaliser un plan d’action (fiches action)
  5. Entrer dans une démarche d’amélioration continue en mesurant la performance de la démarche RSE à l’aide d’un tableau de bord.

Le dialogue avec les parties prenantes est au coeur de la démarche.

Comment évaluer son niveau de maturité RSE ?

Il existe de nombreux diagnostics en ligne qui vous permettent d’évaluer en quelques clics votre niveau de maturité RSE. En partenariat avec l’Agence LUCIE et MAIF, Goodwill-management vous propose de vous évaluer gratuitement sur diagrse.goodwill-management.com.

Ce diagnostic est avant tout un outil pédagogique qui sensibilise les entreprises à la responsabilité sociétale.

Si vous souhaitez aller plus loin en prenant en compte la matérialité et les enjeux prioritaires de votre organisation, nos experts RSE sont à votre disposition.

Avec Goodwill Digital, ils construisent un diagnostic RSE complet et adapté à votre organisation. Ce dernier vous permet d’identifier vos points forts et les leviers pour améliorer votre stratégie RSE et votre impact.

Comment définir une partie prenante ?

Selon l’ISO 26000, il s’agit « des organisations ou individus qui ont un ou plusieurs intérêts dans une décision ou activité quelconque d’une organisation ».

La norme ISO 26000 c’est quoi ?

La norme ISO 26000 est le standard international en matière de responsabilité sociétale.

L’ISO 26000 se décompose en 7 questions centrales :

  1. La gouvernance de l’organisation
  2. Les droits de l’Homme
  3. Les relations et conditions de travail
  4. L’environnement
  5. La loyauté des pratiques
  6. Les questions relatives aux consommateurs
  7. Les communautés et le développement local

Publiée en 2010, la norme ISO 26000 est issue d’un large consensus international. Il est important de noter que la norme ISO 26000 est non certifiable.

Quels sont les principaux référentiels et cadres de la RSE ?

Il existe plusieurs cadres, normes et référentiels en lien avec la responsabilité sociétale.

L’ISO 26000 : le cadre international de référence pour les organisations

Créée en 2010, l’ISO 26000 est la norme de la RSE. Elle englobe une partie des autres standards du développement et de la RSE. Bien qu’il s’agisse d’une norme non certifiable, l’ISO 26000 fournit un cadre très pragmatique pour construire un plan d’action RSE pour les organisations.

Chez Goodwill-management nous considérons l’ISO 26000 comme le principal référentiel pour la mise en oeuvre de la RSE dans les organisations.

Elle présente les lignes directrices à suivre pour toute organisation cherchant à assumer la responsabilité des impacts de ses décisions et activités. Elle définit notamment 7 questions centrales qui sont autant de thématiques à intégrer à la stratégie RSE. L’ISO 26000 permet à chaque organisation de s’engager à son rythme dans la mise en oeuvre de ces actions ou de les adapter à son activité ou à son contexte.

Les Objectifs du Développement Durable (ODD)

Les Objectifs du Développement Durable ont été adoptés en septembre 2015 par l’ONU dans le cadre de l’Agenda 2030. Ils définissent 17 priorités pour un développement socialement équitable, sûr d’un point de vue environnemental, économiquement prospère, inclusif et prévisible à l’horizon 2030. Assortis de 169 cibles très larges, qui sont autant d’objectifs communs pour tous les acteurs engagés.

Les ODD sont un cadre très lisible auprès grand public. Ils représentent une cible commune à toutes les organisations qui souhaitent contribuer au développement durable. Cependant, les ODD étaient initialement destinés aux Etats et aux territoires. Ainsi les 17 ODD ne concernent pas toutes les organisations. Ils représentent néanmoins une grille de lecture des politiques RSE au regard des attentes des citoyens.

Le Global Reporting Initiative (GRI)

Le GRI est une ONG créée en 1997 sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et de la Coalition for Environmentally Responsible Economies (CERES). Sa mission est de développer des directives au niveau international pour permettre aux entreprises de mesurer et leur performance en matière de développement durable. 

Le Global Compact

Le Global Compact est une initiative de l’ONU lancée en 2000. Cette charte se compose de 10 grands principes signés par les organisations.

Aujourd’hui, le Global Compact France rassemblent plus de 1 100 signataires qui s’engagent et communiquent annuellement sur leurs progrès. 

Quel est le lien entre ODD et ISO 26000 ?

Les Objectifs de Développement Durable (ODD), ce sont les 17 objectifs que les Etats membres des Nations Unies s’engagent à atteindre d’ici 2030. Le but est de lutter contre la pauvreté, l’injustice et le dérèglement climatique et de proposer un avenir meilleur pour tous. 

Il existe aujourd’hui de nombreux référentiels qui structurent les stratégies RSE des entreprises. Ainsi la norme ISO 26000 et les ODD sont deux référentiels complémentaires.

Alors que les ODD fixent des objectifs ambitieux à atteindre d’ici 2030, l’ISO 26000 permet aux entreprises de définir un plan d’action concret pour contribuer à ces objectifs. C’est pourquoi, s’engager dans une démarche RSE permet de contribuer à un ou plusieurs des ODD en fonction de la taille, de l’influence et des moyens de l’entreprise.

Si l’ISO 26000 est construite pour l’entreprise, les ODD s’adressent à l’ensemble des acteurs (Etats, collectivités, entreprises, associations ou encore les citoyens). Ils proposent une nouvelle grille de lecture des engagements RSE, en lien avec les attentes de la société. Il s’agit donc d’une opportunité pour les entreprises d’innover et de proposer de nouveaux produits et services qui répondent aux ODD.

Où peut-on trouver des exemples d’actions RSE ?

Pour vous inspirer et identifier des exemples de bonnes pratiques RSE, vous pouvez bien entendu parcourir le web en quête de rapports RSE. Comme la tâche peut s’avérer fastidieuse, Goodwill-management a construit durant plusieurs mois une plateforme regroupant plus d’un millier de bonnes pratiques RSE déjà mises en place en entreprise. 

Quel label RSE choisir ?

Dans une étude sur les labels RSE réalisée en 2019, Goodwill-management a décrypté le profil des entreprises labellisées RSE en France.

3 labels RSE généralistes ont été identifiés, ils s’adaptent à tous les types d’entreprise :

  • B Corp ;
  • Label Engagé RSE ;
  • Label LUCIE 26000.

Il existe également des labels thématiques et sectoriels.

Chez Goodwill-management, nous sommes convaincus que les labels RSE contribuent à la transition écologique des entreprises. Chaque entreprise doit identifier le label qui lui correspond.

Pour vous aider à choisir un label, le rapport « Labels RSE, accompagner les entreprises et donner confiance à leurs parties prenantes«  propose 12 principes pour reconnaître un label de qualité :

 

  1. Exemplarité du label RSE 
  2. Transparence sur l’organisme
  3. Transparence sur les critères et les référentiels d’évaluation 
  4. Matérialité
  5. Progression de la démarche
  6. Comparabilité avec les meilleurs standards internationaux : ODD et ISO 26000
  7. Simplicité
  8. Accessibilité, transparence du coût, proportionnel aux prestations fournies
  9. Bénéfices pour l’entreprise
  10. Représentativité
  11. Séparation des compétences
  12. Adaptabilité 

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